L’école Des Enfants Perturbée, Les Chiffres Américains Jumhur Hidayat Demander Au Juge De Retourner Ordinateur Portable

JAKARTA - L’accusé de l’affaire de diffusion de fausses nouvelles Jumhur Hidayat a demandé au South Jakarta District Court Judge Panel (PN) de retourner l’ordinateur portable. Cet ordinateur portable appartenait à son fils et a été confisqué par les autorités dans l’enquête sur l’affaire qu’il a fait.

L’ordinateur portable peut être retourné avant l’audience de lecture du verdict parce qu’il est utilisé par l’enfant à des fins scolaires. En outre, a déclaré le chiffre de la Coalition indonésienne d’action de sauvetage (KAMI), tous les apprentissages ont lieu pratiquement ou à distance.

« Le dernier des neuf éléments de preuve, un seul a été utilisé dans le cadre de ce procès. C’est l’ordinateur de mon fils( ordinateur portable). Ordinateur portable (pour) l’école de l’utiliser, » Jumhur a déclaré au panel de juges lors d’une audience rapportée par Antara, lundi, Avril 5.

Si le jury peut ordonner le retour de l’ordinateur portable, l’enfant peut retourner à l’école ou poursuivre des activités d’apprentissage virtuel.

« Mon fils a été gêné parce que l’ordinateur portable a été confisqué », a déclaré Jumhur.

En ce qui concerne la demande, le jury s’est ensuite entretenu avec le ministère public (JPU) au sujet du retour de l’ordinateur portable appartenant au fils de Jumhur Hidayat. Le juge a demandé s’il était possible que l’ordinateur portable soit remis temporairement au défendeur en prêt.

Par conséquent, le jury de l’accusé et ses avocats ont demandé qu’ils soumettent une lettre de demande liée à l’ordinateur portable.

L’équipe juridique de Jumhur a ensuite déclaré que la lettre de demande sera soumise au panel de juges lors de la prochaine audience qui se poursuivra au PN Sud de Jakarta, le jeudi 8 avril.

Jumhur Hidayat était présent pour la première fois en personne dans la salle d’audience pour écouter les informations des médecins légistes numériques du quartier général de la police qui ont été présentés comme des témoins experts par les procureurs. Auparavant, Jumhur a participé à un procès virtuel depuis la prison (rutan) de l’Agence nationale de réserse criminelle de la police (Bareskrim).

Jumhur Hidayat a été accusé par les procureurs d’avoir intentionnellement et sans le droit de répandre de fausses nouvelles qui ont provoqué des émeutes.

Jumhur, selon les procureurs, a diffusé les fausses nouvelles via son compte Twitter personnel. Jumhur a été pris au piège par deux articles alternatifs, à savoir l’article 14 paragraphe (1) juncto l’article 15 de la loi n° 1 de 1946 du Code pénal ou l’article 45A paragraphe (2) juncto article 28 paragraphe (2) de la loi n° 19/2016 sur la modification de la loi n° 11/2008 sur l’information et les transactions électroniques.