La police enquête pour la troisième fois sur Audrey Davis
JAKARTA - Audrey Davis a de nouveau subi un interrogatoire pour la troisième fois en tant que témoin d’un cas de diffusion présumée de contenu pornographique dans la police de Metro Jaya aujourd’hui.
Le directeur des enquêtes criminelles spéciales de la police de Metro Jaya, Kombes Ade Safri Simanjuntak, a déclaré que l’examen d’Audrey Davis était cette activité supplémentaire après que les enquêteurs ont arrêté AP, son ex-amant.
« Il est vrai que le témoin Audrey Davis soit interrogé ou interrogé en tant que témoin », a déclaré Ade à VOI le mardi 13 août.
Au cours de l’examen, Audrey Davis était accompagnée de son père, David Bayu, et de son avocat.
Cet examen est prétendument lié à un suivi d’un rapport de police (LP) rédigé par Audrey Davis le 7 août.
Cependant, en ce qui concerne les résultats de l’examen temporaire, Ade n’a pas été en mesure de transmettre. Audrey Davis est toujours invité à fournir plus de détails.
« Cela continue », a déclaré Ade.
Audrey Davis avait déjà été examinée dans l’affaire les 6 et 7 août 2024.
Dans le développement de l’affaire, la police a arrêté l’ancien amant d’Audrey Davis avec les initiales AP. Il joue un homme dans une vidéo qui circule sur les réseaux sociaux ainsi que le créateur.
De la série d’examens, il a été constaté que la vidéo sévère avait été délibérément enregistrée le 19 décembre 2022.
Le suspect de l’AP a délibérément diffusé du contenu pornographique aux médias sociaux en raison d’un chagrin d’aumône à Adrey Davis.
« Le motif du suspect de se propager était que le suspect était désolé après avoir été décidé comme amant par un témoin AD », a déclaré Ade.
« Pour que le suspect veuille embarrasser l’AD en diffusant une vidéo téléchargée de civils ou de pornographie en question », a-t-il poursuivi.
Actuellement, le suspect AP est détenu au domicile de détention de la police de Metro Jaya.
Dans ce cas, il a été accusé de l’article 27, paragraphe 1, et de l’article 45, paragraphe 1, de la loi n° 1 de 2024 concernant le deuxième amendement à la loi n° 11 de 2008 relative à l’ITE et/ou à l’article 4, paragraphe 1, et à l’article 29 et/ou à l’article 7 jo article 33 de la loi n° 44 de 2008 relative à la pornographie.