Trois personnes tuées dans des manifestations contre les prix élevés
JAKARTA - Trois manifestants ont été tués dans l'Etat d'Afrique d'Ouest, dans l'État d'Afrique d'Ouest, contre la hausse des prix de la vie et les problèmes gouvernementaux.
Le porte-parole de la police de l’État d’Aïd, Mansur Hassan, a déclaré que la police avait tiré de gaz lacrymogène sur les manifestants et non sur des balles tranchantes.
La police a également tiré de gaz lacrymogènes dans la capitale Aceh pour disperser une foule de manifestants, selon des témoins oculaires rapportés par Reuters, jeudi 1er août.
Des manifestants ont manifesté à Barangay, la capitale commerciale de Lagos, et dans d'autres villes, pour montrer leur mécontentement face aux réformes économiques qui ont accru l'inflation et ont aggravé les difficultés du peuple nigérian.
Le président de la Bola Tinubu a promis d’apporter les changements qu’il considérait comme nécessaires pour maintenir son pays survivant.
Les autorités déploient des membres du personnel de sécurité armé dans le but de prévenir la violence potentielle.
A Lagos, la police armée surveillait les manifestants qui se dirigaient vers le bâtiment du gouvernement, puis se sont ensuite dirigés vers deux endroits autorisés pour organiser des manifestations. Certains centres commerciaux de la ville ont été fermés et gardés par de nombreuses policiers.
Inspirés par les manifestations au Kenya en juin qui ont conduit le gouvernement à l’annulation de certains projets de montant d’accise, les Nigérians se sont mobilisés en ligne pour exiger la réadaptation des subventions à l’essence et à l’électricité, l’éducation primaire et secondaire gratuites, ainsi que des mesures pour lutter contre l’insécurité et d’autres demandes.
À Barangay, l'armée a installé des bloques routiers le long de l'autoroute jusqu'à la ville, tandis que plusieurs manifestants se sont rassemblés dans un stade.
Des jeunes ont manifesté dans la ville de Maiduguri, un centre d'insurrection militante dans le nord-est du pays, au milieu d'un très strict groupe de forces de sécurité, pour exprimer leur sentiment de frustration contre le gouvernement et ses politiques.