rappelle fermement à l’ASEAN, le ministre des Affaires étrangères Retno: Une fois qu’il devient proxy, il est difficile de jouer un rôle central

JAKARTA - Le ministre indonésien des Affaires étrangères, Retno Marsudi, a averti que l’ASEAN ne devient pas parti, où le fait d’être un proxy n’empêche l’ASEAN de jouer son rôle central.

Cela a été transmis par le ministre des Affaires étrangères Retno lors de la réunion de retraite lors de la 7e réunion des ministres des Affaires étrangères de l’ASEAN (AMM) des ministres des Affaires étrangères de l’ASEAN à Vientiane, au Laos, jeudi.

Il y a cinq questions soulevées lors de cette démission, à savoir les questions centralisées de l’ASEAN, l’AOIP (AASEAN sur l’Indo-Pacifique), le Myanmar, la mer de Chine méridionale et les questions palestiniennes.

En ce qui concerne la centralisation, il a déclaré qu’il était important pour la partie de l’ASEAN de ne pas être une personne parrainée par aucune force.

« Une fois que l’ASEAN devient un proxy, il sera difficile pour l’ASEAN de jouer son rôle central et de rester un « point de vente » pour la réalisation de la paix et de la stabilité dans la région », a déclaré le ministre des Affaires étrangères Retno dans un communiqué du ministère des Affaires étrangères sur son site le jeudi 25 juillet.

En outre, en ce qui concerne la durabilité de la mise en œuvre de l’OIM (ASEAN Perspectives sur l’Indo-Pacifique), l’Indonésie s’assure que la mise en œuvre de l’OIM reste prioritaire à la fois dans les activités de l’ASEAN et avec ses partenaires de discours.

« À la suite de la mise en œuvre du Forum indo-Pacifique de l’ASEAN (AIPF) l’année dernière, cette année aura lieu la 2e réunion de l’AIPF en marge du 4e et 45e sommet de l’ASEAN à Vientiane en octobre prochain. L’Indonésie espère également que l’AIPF pourra avoir lieu en Malaisie l’année prochaine », a-t-il poursuivi.

Pour la durabilité de l’AOIP, le ministre des Affaires étrangères a ensuite proposé une initiative indonésienne afin que l’ASEAN puisse rédiger et accepter la déclaration de l’AOIP comme référence principale pour l’architecture régionale, comme indiqué dans le document Concord IV.