Vendredi après-midi, SYL et deux ex-fils de leur buzz subissent un procès pour la lecture de poursuites
JAKARTA - L’ancien ministre de l’Agriculture (ancien ministre de l’Agriculture) Syahrul Yasin Limpo ou SYL subiront aujourd’hui un procès continu pour l’affaire de chantage présumé et de réception de gratifications. L’ordre du jour, la lecture de la demande par le procureur général (JPU).
« Oui, aujourd’hui l’audience de lecture de la demande prévue à 13h30 WIB », a déclaré l’avocat de SYL, Djamaluddin Koedoeboen, à VOI, vendredi 28 juin.
Rapporté, SYL est prêt à écouter les demandes de l’UMC concernant le cas présumé de chantage et de réception de gratifications.
C’est juste que SYL croit toujours s’il n’a jamais ordonné de collecter de l’argent auprès des échelons I du ministère de l’Agriculture.
« Si Dieu le veut, il est prêt », a déclaré Djamaluddin.
Non seulement SYL, mais ses deux anciens hommes, à savoir l’ancien secrétaire général (Sekjen) du ministère de l’Agriculture, Kasdi Subagyono, et l’ancien directeur des équipements et des machines du ministère, Muhammad Hatta, subiront également une audience de lecture des poursuites.
Dans cette affaire, SYL est accusé d’extorsion allant jusqu’à 44,5 milliards de roupies au cours de la période 2020-2023.
Cet acte a été effectué en collaboration avec le Secrétaire général du ministère de la Défense, Kasdi Subagyono, et le Directeur des outils et des machines agricoles de la Direction générale des infrastructures et des salles du ministère de la Défense, Muhammad Hatta.
L’argent est utilisé au profit de la femme et de la famille de Syahrul, des cadeaux d’invitation, du parti NasDem, des événements religieux, des compagnies d’avions à la Omra et des offrandes. En outre, il est également accusé d’avoir reçu des gratifications de 40,6 milliards de roupies de janvier 2020 à octobre 2023.
SYL est accusé d’avoir violé l’article 12 lettre e et l’article 12 lettre f ou l’article 12B juncto l’article 18 de la loi n° 31 de 1999 sur l’éradication du Tipikor telle que modifiée par la loi n° 20 de 2001 juncto l’article 55 paragraphes 1 à 1 du Code pénal en liaison avec l’article 64, paragraphe 1, du Code pénal.