Resolution du cas Connie Cemaran présumé président du TKN Prabowo-Gibran, Bareskrim Examinez les experts

JAKARTA - L’enquête sur les cas présumés de diffamation, de calomnies et de fausses nouvelles signalés par le président de l’équipe nationale de campagne (TKN), Rosan Perkasa Ro 4eli avec Connie Rahakundini Bakrie, continue de fonctionner. Plus récemment, Bareskrim Polri a examiné plusieurs experts.

« L’interrogatoire des témoins est toujours en cours et à plusieurs témoins experts ont été invités à obtenir des informations », a déclaré à la presse Karo Penmas, de la division des relations publiques de la police, le général de brigade Trunoyudo Wisnu Andiko, mardi 26 mars.

Mais il n’a pas été donné en détail sur le nombre et le domaine d’experts qui ont été interrogés dans le traitement de l’affaire.

Il est seulement dit que la police, en particulier Bareskrim, sera professionnel et suivra les règles applicables dans le processus d’enquête.

« Assurez-vous que les enquêteurs font de manière propositive et procédurale dans le traitement de cette affaire », a déclaré Trunoyudo.

Auparavant, les enquêteurs avaient examiné Rosan Perkasa Roeslanis, comme rapporté le jeudi 29 février.

Le cas présumé de diffamation était connu lorsque Connie a déclaré que Rosan avait mentionné le scénario de leadership de Prabowo Subianto qui n’était que de 2 ans s’il était élu président de l’Indonésie lors de la contestation des élections générales de 2024.

La déclaration a été faite par Connie sur la chaîne YouTube intitulée “Chana for the Children of the nation”.

Sans accepter, Rosan Perkasa Ro Isani a finalement signalé Connie Rahakundini Bakrie au Bareskrim Polri lundi 12 février. Le rapport est enregistré sous le numéro LP/B/52/II/2024/SPKT/BARESKRIM PolRI.

Dans ce rapport, Connie est soupçonnée d’avoir commis des actes criminels de diffamation, de blasphème et de fausses nouvelles trompeuses au sens de l’article 45, paragraphe 4, Jo article 27A UURI numéro 1 de 2024 deuxième amendement à l’UURI numéro 11 de 2008 concernant l’ITE et/ou l’article 310 du Code pénal, article 311 du Code pénal et/ou l’article 14 et article 15 de l’UURI numéro 1 de 1946.