Toyota ouvre son nouveau siège à Shinagawa d’ici 2030
JAKARTA - Le géant automobile japonais, Toyota, a annoncé son intention d’ouvrir un nouveau siège à Tokyo dans la zone de sortie occidentale de la gare de Shinagawa au cours de l’exercice budgétaire 2030 (environ avril 2030 - mars 2031).
Cette décision marque une transformation majeure de Toyota qui se concentre non seulement sur la production automobile, mais entre dans un monde de mobilité plus large.
Dans la publication de la société, vendredi 24 mars, ce nouveau siège n’est pas seulement un lieu de travail ordinaire. Toyota l’a conçu comme une « base importante » pour les diriger dans une nouvelle ère de mobilité. Le concept porte une collaboration ouverte, avec la fourniture d’un espace de travail mutuel qui permet à divers partenaires de travailler ensemble, puis il existe des installations de développement de logiciels pour créer des services de mobilité innovants, et bien sûr il y a une arène de manifestation pour démontrer les dernières technologies.
La conception du bureau est également conçue pour soutenir la mobilité future. Les employés sont encouragés à porter et à utiliser leurs dispositifs de mobilité personnels dans le milieu de bureau.
Ce déménagement est inséparable de la vision de Toyota de devenir une « société de mobilité ». Ils veulent apporter un « sourire et du bonheur » à travers une variété de services de mobilité.
L’accent de Toyota se concentre non seulement sur la commodité, mais aussi sur la durabilité. Le concept de « CASE » (connecté, autonome/Automatique, Sharp et Electric) est une référence pour le développement, avec l’objectif d’atteindre une neutralité carbone et de vivre côte à la terre de manière durable.
Des bureaux qui encouragent la créativité
En plus du matériel, Toyota prête attention au confort et à la créativité des employés. Le bureau de demain sera équipé d’installations et d’équipements de bureau modernes, d’un environnement qui soutient la création d’idées fraîches, notamment permettre aux employés d’apporter leurs équipements de mobilité, et, ce dernier, non moins important, des systèmes de bien-être et des infrastructures qui permettent la mise en œuvre de nouveaux modes de travail.