La police de Balikpapan arrête un complot de vendeur de riz de Bulog volé, 1,65 tonnes de riz saisies
Balikpapan - Le groupe de travail sur les denrées alimentaires et les crimes spécifiques de la police de Balikpapan a arrêté les auteurs d’abus de riz du programme de stabilisation des approvisionnements et des prix des denrées alimentaires (SPHP) géré par l’Agence d’affaires logistiques (Bulog) dans les régions du Kalimantan oriental et du Nord.
Le chef de l’unité d’application des actes criminels spécifiques de la police de Balikpapan, Iptu Wirawan Trisnadi, a révélé trois auteurs avec les initiales MSP (26), RH (33) et MA (27), tous résidents du Kalimantan du Sud.
Ils auraient acheté de grandes quantités de riz SPHP à Balikpapan pour être ré vendus dans le Kalimantan du Sud à un prix beaucoup plus élevé que le prix de détail le plus élevé (HET) fixé par le gouvernement à 11 500 roupies le kilogramme.
Selon Wirawan, l’arrestation a eu lieu lorsque les trois auteurs se sont reposés dans un jardin sur Jalan Padat Karya, dans la zone de Gunung Steling (28/2).
La police a également confisqué un camionCold Dieselkuning avec le numéro de police DA 8337 EI, dans lequel il avait trouvé 28 sacs de riz 50 kilogrammes et 50 sacs de riz 5 kilogrammes, ainsi qu’un reçu d’achat de riz SPHP, un total de 1,65 tonnes.
Selon Iptu Wirawan, au cours des deux semaines précédant l’arrestation, l’agresseur avait vendu du riz SPHP à deux reprises et se préparait pour une troisième fois. Les trois auteurs ont des rôles différents dans l’opération, y compris les financiers, les acheteurs recherchés et les responsables des paiements.
Lors d’une audition tenue par la DPRD de Balikpapan avec le gouvernement de la ville, Slamet Imam Santoso, membre de la Commission II, a confirmé que cette affaire n’affectait pas l’approvisionnement en riz SPHP.
Cependant, il a souligné les limites de la voiturecraneyang utilisée pour déplacer le riz d’un navire en un camion, ce qui peut affecter la sécurité alimentaire dans la région.
Pour leurs actes, les auteurs ont été inculpés de l’article 29 paragraphe 1 Jo. Article 107 de la loi indonésienne numéro 7 de 2014 sur le commerce et/ou de l’article 53 Jo. Article 133 de la loi indonésienne numéro 18 de 2012 sur la nourriture, ce qui peut entraîner une peine d’emprisonnement maximale de sept ans ou d’une amende allant jusqu’à 100 milliards de roupies.