L’artiste cave de couleur et ses amis devient un cyborg avec un impact de capteurs, à travers la technologie transhumaine

JAKARTA - Un nouveau documentaire qui sortira cette année raconte l’histoire de Neil Harbisson, un artiste aveugle à devenir le premier cyborg légalement reconnu pour avoir un implant lui permettant d’entendre la couleur.

Harbisson et son ami Moon font partie d’un mouvement transhumain visant à ajouter de nouvelles capacités au corps humain grâce à la technologie.

Dans le documentaire, Harbisson parle de son espoir que la technologie permettra aux humains de « reconstituer » leurs propres corps. Pendant ce temps, Elon Musk, fondateur de Neuralink, a exprimé sa croyance selon laquelle les implants Neuralink peuvent améliorer la mémoire humaine ou même permettre aux humains de vivre pour toujours en tant qu’hérospatiale hybride.

Selon le réalisateur de Carey Born, ce film est important parce que des technologies comme Neuralink devraient déclencher un débat autour du transhumanisme afin de ne pas tomber dans de mauvaises mains. Il a également exprimé sa croyance que cette technologie sera utilisée un jour, et que des passionnés de transhumanisme tels que Harbisson et Moon, qui sont les fondateurs de la Fondation Cyborg et de la Société Trans-Species, joueront un rôle important dans le développement de nouvelles technologies de super-censure.

Dans le film, Born explique que Harbisson, qui est aveugle de couleur, veut avoir un « goût de couleur », alors lui et un technologique nommé Adam Montandon ont créé un dispositif qui traduit une combinaison de couleurs en voix.

Moon, une danseuse, a également un implant qui lui permet de « ressentir » le tremblement de terre, utilisant des puces connectées à Internet pour recevoir des informations sur les tremblements de terre dans le monde entier sous la forme de vibrations.

En outre, le film met également en évidence les dernières recherches dans le but de donner aux humains la capacité de « ressentir » à travers les membres artificiels, y compris la capacité de ressentir la chaleur des corps humains d’autres.

Born avertit que la technologie transhumaniste sera utilisée un jour, et que le public doit anticiper son impact afin que les décisions ne soient pas seulement prises par quelques milliardaires, militaires et politiciens. Ainsi, le film vise à ouvrir des discussions sur l’avenir du transhumanisme et sur la façon dont cette technologie peut être utilisée pour le bien humain largement.