Meta n’a pas réussi à contenir le contenu d’abus sexuels sur les enfants

JAKARTA – The Wall Street Journal (WSJ) a mené une recherche conjointe du Centre canadien pour la protection de l’enfance sur les recommandations sur la plate-forme Meta. Les résultats montrent que Meta n’a pas géré le contenu exploitant chez les enfants.

Le WSJ a déclaré que la plate-forme Meta promeut toujours des groupes Facebook, des badges Instagram et des comptes montrant du matériel d’abus sexuels sur des enfants. À partir de ces découvertes, Meta est accusé de manière lente dans la gestion de la propagation du contenu d’exploitation sexuelle des enfants.

Pendant ce temps, le Centre canadien pour la protection de l’enfance a déclaré que les comptes Instagram avec un nombre de 10 millions d’abonnés partagent toujours des vidéos d’abus sexuels sur des enfants depuis plusieurs mois et jusqu’à présent.

Les résultats de ces tests ont laissé le Centre canadien pour la protection de l’enfance de plus en plus doutes quant à la gestion de Meta. Bien que Meta dit que sa plate-forme tente de limiter la présence de prédateurs, les résultats des tests montrent l’inverse.

En raison de cette question, la Commission européenne a exhorté Meta à fournir à nouveau des rapports sur sa façon de faire face à la propagation du contenu d’abus sexuels sur les enfants. L’ordonnance doit être respectée jusqu’au 22 décembre.

En plus de rapports sur la gestion du contenu, Meta doit également fournir des informations sur le système de recommandation Instagram qui montre le contenu inapproprié et l’amplification du contenu considéré comme dangereux.

Meta est obligé de se conformer à l’ordonnance jusqu’à une date spécifiée. Si Meta ignorerait l’ordonnance de la Commission européenne, la société faisait l’objet d’une enquête formelle sur la base des règles de contenu en ligne de l’Union européenne (UE).