4 Sprinklers Hard Water Of Lovers à Pekanbaru Arrêté, Motif Blessé Par Une Démo Virale
PEKANBARU - La police de Pekanbaru a arrêté quatre auteurs qui ont été payés pour verser de l’eau dure sur les résidents pour avoir organisé des manifestations à Kampar Regency.
« Ce cas était à l’origine une femme a signalé un arrosage dur sur la rue Tamtama, Labuh Baru, mercredi la semaine dernière. La victime, ainsi que sa petite amie, ont été soudainement approchées par quatre personnes et éclaboussées d’eau dure », a déclaré le chef de la police de Pekanbaru Kombes Nandang Mu’min Wijaya, cité par Antara le mercredi 20 janvier.
Il a expliqué que les victimes de l’arrosage dur étaient deux résidents nommés Heggi (26 ans) et Indah (26 ans). Tous deux ont subi des blessures au visage à la suite d’un coup d’eau dure.
Les quatre auteurs ont été nommés J. Sitorus (28 ans), Elda Pardede (26 ans), Trisurya (18 ans) et Fajar G. (51 ans). Ils ont été arrêtés dans un hôtel de Pekanbaru le 18 janvier.
Nandang a expliqué que le mobile du crime aurait été en raison du chagrin d’un auteur avec les initiales RU qui est toujours en fuite. Ru ressenti du ressentiment parce que les manifestations à Kampar Régence il ya quelque temps ont été diffusées jusqu’à ce que « virale » sur les médias sociaux par les victimes.
« Le motif du chagrin envers la victime. Les victimes ont organisé des rassemblements des auteurs. Parce que ces victimes font des rassemblements et c’est là que le chagrin d’amour se pose », a-t-il dit.
Selon lui, RU est soupçonné d’être le cerveau du crime en payant quatre auteurs arrêtés rp8 millions chacun pour verser de l’eau dure sur la victime.
« Arrêté quatre auteurs. L’exécuteur testamentaire JS qui a arrosé la victime. EP conduisant une moto, TS transportant FG traque la victime et finit par rincer la victime. Ces gens sont mauvais aux mauvais traitements infligés aux victimes et c’est assez sadique », a-t-il dit.
La police détient maintenant les auteurs à Mapolres et les empronne à l’article 355 paragraphe (1) Jo. Article 353 paragraphe (1) et 351 du Code pénal avec une menace de 12 ans.