Covid-19 Positive, Le Procès De L’ancien Membre Du BPK Rizal Djalil Reporté

JAKARTA - Le procès de l’affaire de corruption présumée de la construction du système d’approvisionnement en eau potable (SPAM) projet au ministère de PUPR avec l’ancien membre accusé BPK Rizal Djalil a été reportée. Cela fait suite au COVID-19 positif de Rizal Djalil.

L’avocat de Rizal Djalil, Soesilo Aribowo, a confirmé que son client était positif pour covid-19. C’est parce que son client ne peut pas assister au procès.

Ainsi, le panel de juges a décidé de reporter la procédure d’un certain temps. « Le procès de M. Rizal pourrait être reporté en raison de (Rizal) COVID-19 », a déclaré M. Soesilo aux journalistes, lundi 11 janvier.

De même, le procureur de la Commission d’éradication de la corruption (KPK) Iskandar Marwanto a également confirmé l’affaire. L’accusé Rizal Djalil aurait confirmé un résultat positif pour covid-19.

« Oui (confirmé COVID-19), at-il dit.

Pour information, rizal Djalil a été désigné suspect dans cette affaire de corruption présumée liée à la SPAM à Kempupera depuis septembre 2019. Non seulement Rizal Djalil, KPK a également pris au piège le président commissaire du PT Minarta Dutahutama (PT MD) Leonardo Jusminarta Prasetyo.

La détermination des suspects contre les deux est un développement de l’affaire de corruption de projet de spam qui a pris au piège quatre fonctionnaires de spam féminins et quatre parties privées.

Rizal Djalil, par l’intermédiaire d’un membre de sa famille, aurait reçu un fonds de 100 000 SGD de Leonardo. L’argent a été donné par Leonardo parce que Rizal a aidé la société de Leonardo à obtenir le réseau de distribution principal hongrois (JDU) spam projet avec un budget de Rp 79,27 milliards. Rizal aurait demandé aux responsables de kempupera SPAM de travailler ensuite sur le projet par la société de Leonardo.

Ainsi, dans le cadre du procès Rizal a été accusé d’avoir commis un acte criminel qui a été menacé dans la lettre b de l’article 12 et l’article 11 de la loi n° 31/1999 sur l’éradication de Tipikor telle que modifiée par la loi n° 20/2001.

Dans le même temps, Leonardo a été accusé d’avoir commis une infraction pénale prévue à l’article 5 Paragraphe (1) lettre b et à l’article 13 de la loi n° 31/1999 concernant l’éradication de Tipikor telle que modifiée par la loi n° 20/2001 jo Article 55 Paragraphe (1) du 1er Code pénal.