Rizieq Shihab Devient Un Suspect, COVID-19 Task Force: Law Enforcement Indiscriminately
JAKARTA - Le Grand Imam du Front islamique des défenseurs (FPI) Rizieq Shihab et cinq autres personnes ont été nommés comme suspects dans la violation présumée du protocole de santé à Petamburan, Tanah Abang, Jakarta central.
En réponse à cela, le porte-parole du Groupe de travail COVID-19, Wiku Adisasmito, a déclaré que son parti soutient le processus d’application de la loi contre les contrevenants au protocole de santé. Parce que, ce processus doit être fait sans discernement.
« En principe, les forces de l’ordre sur la discipline des protocoles de santé doivent être menées sans discernement », a déclaré Wiku lorsqu’il a été contacté par VOI, jeudi 10 décembre.
On sait que Rizieq a été désigné suspect par Polda Metro Jaya avec cinq autres personnes. Cette décision a été prise après que la police ait procédé à une affaire.
« Il ya 6 qui ont été nommés comme suspects. Tout d’abord, l’organisateur est le frère de MRS (Rizieq Shihab) », a déclaré le chef des relations publiques de Polda Metro Jaya, Kombes Yusri Yunus aux journalistes, jeudi 10 décembre.
Les cinq autres suspects sont le président du Comité des contrats de mariage avec les initiales HU, le secrétaire du Comité des contrats de mariage avec les initiales A, la personne responsable du secteur de la sécurité avec les initiales MS, la personne responsable de la cérémonie de mariage avec les initiales SL, et le chef de la section du programme d’accord de mariage avec les initiales HI.
« Ces six personnes, nous sommes passé de témoins à suspects », a déclaré Yusri.
Dans ce cas, l’enquêteur a appliqué un article différent aux suspects. Surtout pour Rizieq Shihab, la police a utilisé les articles 160 et 216 du Code criminel.
« La première est qu’en tant qu’organisateur, le propre frère de MRS est présumé dans les articles 160 et 216 (KUHP) », a-t-il dit.
L’article 160 du Code pénal prévoit l’incitation à commettre des violences et le non-respect des dispositions de la loi, sous peine de six ans d’emprisonnement ou d’une amende de 4 500 rp.
Entre-temps, l’article 216 du paragraphe 1 du Code pénal concernant les obstacles aux dispositions légales. La menace est une peine d’emprisonnement de quatre mois et deux semaines ou une amende de Rp9,000.
Dans le même temps, d’autres suspects n’ont été inculpés qu’en vertu de l’article 93 de la loi n° 6 de 2018 concernant la quarantaine sanitaire. En vertu de ce règlement, ils sont menacés d’un an d’emprisonnement ou d’une amende rp100 millions.