Venir à Polda Metro Jaya, Anies: Je Réponds à L’invitation
JAKARTA - DKI Jakarta gouverneur Anies Baswedan assisté à l’ordre du jour de l’enquête à Polda Metro Jaya. Les enquêteurs clarifieront la foule qui s’est produite au mariage de la fille de Rizieq Shihab il y a quelque temps.
D’après l’observation de VOI, Anies est venu avec une tenue de safari brune. Il est venu avec une partie de son personnel.
Pas seulement beaucoup de déclarations qu’il a exprimées. Il a seulement fait allusion à la question de recevoir la citation à comparaître pour clarification.
« J’ai reçu une invitation à la clarification que j’ai reçue hier, m’invitant à fournir des éclaircissements le 17 à 10 h. Aujourd’hui, je suis venu au quartier général de la police en tant que citoyen pour répondre à l’invitation de la police régionale », a déclaré Anies aux journalistes, mardi 17 novembre.
Après avoir fait sa déclaration, Anies est immédiatement entré dans le bâtiment de la Direction générale des enquêtes criminelles à Polda Metro Jaya.
L’appel à clarification contre Anies Basewedan était également basé sur un rapport d’information avec le numéro LI / 279 / XI / 2020 / PMJ / Ditreskrimum et un mandat d’enquête numéro SP / Lidik / 5409 / XI / 2020 / Ditreskrimum.
Dans la convocation, Anies a été invité à être présent à Polda Metro Jaya le mardi, Novembre 17, 2020 à 10.00 WIB dans la salle unité V, Ditreskrimum Polda Metro Jaya Subditkamneg.
« Une invitation à des éclaircissements au Frère Anies Baswedan, le gouverneur de la province de Jakarta DKI a pris parti dans les soupçons d’un acte criminel en désobéissant et en faisant obstacle à la mise en œuvre de la quarantaine sanitaire qui a eu lieu le samedi 14 Novembre à Jalan Paksi Petamburan III Tanah Abang, a écrit le chef de Subditkamneg Polda Metro Jaya AKBP. Raindra Ramadhansyah dans une lettre reçue par VOI, lundi 16 novembre.
Ce programme de clarification est lié à des violations présumées de l’article 93, conjointement avec l’article 9 de la loi numéro 6 de 2018 concernant la quarantaine sanitaire et/ou l’article 216 du Code pénal.