Le Président Brésilien Bolsonaro Toujours Resing De La Croissance Des Incendies Amazoniennes

JAKARTA - Les politiques environnementales qui ont été jugées pas de tout cœur fait le président brésilien Jair Bolsonaro flot de critiques. L’un des problèmes qui a été critiqué tout-out est que le nombre d’incendies de forêt en Amazonie a fortement augmenté tout au long de Septembre dernier.

Selon un rapport de l’Institut national de recherche antarctique (INFE), le fait que le nombre croissant d’incendies dans la forêt amazonienne soit signalé par l’Institut national de recherche antarctique (INFE). L’institut de recherche a souligné le fait que l’augmentation du nombre d’incendies s’est produite de 61 p. 100 par rapport à l’année précédente.

Lorsqu’il est détaillé, l’INFE a détecté 32 012 incendies au cours du dernier mois. Ce nombre semble augmenter si l’on considère qu’en 2019, ce nombre n’est arrivé qu’à 19 925.

Néanmoins, Bolsonaro semblait en désaccord avec les informations fournies par l’INFE. En fait, pour la seule journée de mercredi, Bolsonaro, qui est connu pour être proche du président américain Donald Trump, semblait incapable d’accepter lorsqu’il a été critiqué par l’adversaire de Trump à l’élection présidentielle américaine, Joe Biden, qui a déclaré que la destruction de la jungle amazonienne pourrait être surmontée si grave.

Non seulement cela, Biden même ouvertement dans le premier débat de l’élection présidentielle américaine promis après l’élection permettra de recueillir des fonds de 20 milliards de dollars ou l’équivalent de Rp298 billions pour aider immédiatement le Brésil à cesser d’endommager l’Amazonie.

Bolsonaro semblait réticent à concéder, et encore moins recevoir de l’aide de Biden. Parce que, plus tard dans un discours au Sommet des Nations Unies sur la biodiversité, Bolsonaro a déclaré que le Brésil a déjà un engagement envers le développement durable et la préservation de l’environnement.

En réponse aux critiques formulées à l’égard de ses politiques environnementales, Bolsonaro a également accusé certaines organisations non gouvernementales d’avoir commis des crimes environnementaux. Bolsonaro y a donc vu un stratagème visant à ternir l’image du Brésil aux yeux du monde.

Les commentaires de Bolsonaro ont été critiqués. Les critiques immédiates sont venues de Christiane Mazzetti de l’organisation mondiale de l’environnement, Greenpeace. Il pense que cela est purement dû aux politiques environnementales non directionnelles de Bolsonaro.

« Le Brésil est en feu. De l’Amazonie au Pantanal, le patrimoine environnemental de tous les Brésiliens est réduit en cendres. C’est une conséquence de la politique du gouvernement bolsonaro, qui, malgré les prévisions de sécheresse dans le Pantanal, n’a pas utilisé les installations nécessaires de protection contre les incendies », a-t-il conclu.