Les Aspects Du Suivi Covid-19 En Indonésie Sont Considérés Comme Disingestants
JAKARTA - Indo Baromètre Directeur exécutif Muhammad Qodari a déclaré que l’augmentation des cas COVID-19 en Indonésie est due à l’indleation du gouvernement pour effectuer la recherche ou le suivi.
Selon lui, pendant tout ce temps, le gouvernement met l’accent sur les tests plutôt que sur le suivi. En fait, ces deux choses devraient aller de pair pour réduire le taux covid-19 en Indonésie.
« Nous soulignons que des études récentes soulignent que la recherche de contacts pour être des personnes qui interagissent avec les patients atteints de COVID, même s’ils n’ont pas de symptômes, doit encore être mise en quarantaine et doit être testée, alors n’attendez pas que les symptômes soient mis en quarantaine en premier, ou testés », a déclaré M. Qodari lors d’un événement de discussion mis en ligne sur YouTube, le dimanche 20 septembre.
Des exemples d’efforts de suivi menés par ce gouvernement, a-t-il dit, peuvent être vus par arief Budiman, président de la KPU, et Pramono Ubaid Tanthowi, commissaire de la KPU, qui ont récemment été déclarés positifs pour le COVID-19.
« Le cas de M. Arief est connu parce qu’il va rencontrer le président, dans l’écouvillon, il s’avère positif. Je tiens donc à dire que cet aspect de la traçabilité est en fait un problème », a-t-il dit.
En outre, Qodari a confirmé que le traçage ou le suivi des contacts étroits pourrait réduire la transmission du COVID-19. « Ainsi, la clé n’est pas testé, mais le traçage du contact, at-il dit.
« Si je suis positif, alors ma femme, mon fils ou le personnel me rencontrent. Pas alors le tracer sur le marché alors qui se trouve sur le marché testé. Il ne devrait donc pas être commun, mais obtenu à partir de la recherche des résultats de contact », at-il ajouté.
Si ce contact de suivi ou de traçage n’est pas immédiatement corrigé par le gouvernement, alors les restrictions sociales à grande échelle (PSBB) ne seront pas efficaces pour empêcher la transmission du COVID-19.
« Lorsqu’on leur demande quelles sont les recommandations. Les tests doivent donc être améliorés selon les normes de l’OMS, et non au public, ni poursuivre les dépôts », a-t-il conclu.