Gay Party Reconstruction Dans Brass Suite: Il Ya Advanced Event Discount Prizes
JAKARTA - Reconstruction des parties sexuelles gay trouve de nouveaux faits. L’un d’eux est de donner des prix aux participants qui ont remporté la course dans la partie.
Directeur adjoint de la Direction générale des enquêtes criminelles (Dirkrimum) Polda Metro Jaya, AKBP Jean Calvijn Simanjuntak dit, le prix est décerné sous la forme de remises.
« Chaque gagnant du jeu recevra un prix lié à l’événement suivant avec un rabais de 50 pour cent. Que cela signifie-t-il? il y aura un prochain événement », a déclaré Calvijn aux journalistes le jeudi 3 septembre.
L’attribution du prix sous forme de remises, calvijn dit, a laissé entendre qu’il y aurait des activités similaires si elle n’avait pas été révélée. En fait, d’après la description des auteurs, ils organisent des fêtes semblables deux fois par année.
« Nous savons que cette communauté a créé deux fois des événements en 2018 et 2019. En 2020 aussi deux fois dans le nombre à Jakarta et les lieux de déménagement », at-il dit.
Toutefois, les enquêteurs continueront d’enquêter sur les liens des suspects avec d’autres communautés aimant le même sexe. Parce que le nombre de participants qui ont assisté à la fête était assez important.
« Nous sommes encore en train d’examiner s’il existe une corrélation communautaire que nous exprimons actuellement avec d’autres collectivités. Les enquêteurs enquêtent toujours. Nous explorons encore la corrélation entre la possibilité d’autres communautés », a-t-il conclu.
Quant à la reconstruction, il a exposé 26 scènes. De la planification aux soirées sexuelles qui ont eu lieu.
Dans le cas de cette fête du sexe gay, la police a désigné neuf suspects comme fêtards. Pendant ce temps, pour les 47 participants de la partie n’a été utilisé comme témoin.
La fête du sexe a eu lieu dans kuningan suite appartement chambre 608 6ème étage, Kuningan, Jakarta sud, le 28 août. La fête était sur le sujet Jeunesse Get-Together Célébrer l’indépendance.
Les suspects sont soupçonnés par l’article 296 du Code pénal, l’article 33 juin de l’article 7 de la loi numéro 44/2008 et l’article 36 junto l’article 10. Les suspects risquent jusqu’à cinq ans de prison.