Le Violeur 13 Santriwati Herry Wirawan Condamné à Mort
BANDUNG - L’affaire de viol accusé contre 13 santriwati Herry Wirawan (36 ans) a été condamnée à mort par les procureurs du bureau du haut procureur de Java occidental (Kejati).
Le chef de Java Occidental, Kejati Asep N Mulyana, a déclaré que la peine de mort avait été infligée à Herry Wirawan parce que ses actions immorales visant à provoquer une grossesse chez les victimes étaient considérées comme un crime très grave.
« Nous accusons d’abord l’accusé de la peine de mort. Comme preuve, comme notre engagement à fournir un effet dissuasif aux auteurs », a déclaré Asep au tribunal de district de Bandung, ville de Bandung, Java occidental, rapporté par Antara, mardi 11 janvier.
En outre, Asep a également déclaré qu’elle avait fourni un certain nombre d’accusations punitives supplémentaires aux accusés qui avaient commis de tels actes innommables.
Herry a été accusé par les procureurs de payer une amende de 500 millions de roupies et a également exigé de dédommager les victimes de 331 millions de roupies.
« Nous demandons également au juge d’imposer des accusations criminelles supplémentaires sous la forme d’annonces d’identité, l’identité de l’accusé est diffusée et de poursuites supplémentaires sous forme de castration chimique », a déclaré Asep.Selon lui, la peine de mort a été envisagée parce que le crime de Herry a été commis sur ses enfants adoptifs alors qu’il avait un poste ou une procuration en tant que propriétaire de l’internat.
« Les actions de l’accusé affectent non seulement l’honneur physique, mais affectent le psychologique et l’émotion des étudiants dans leur ensemble », a-t-il déclaré.
Et ce qu’il pense être le plus sévère, à savoir que Herry utilise des symboles religieux et éducatifs pour mener à bien son action.
« Le président a également prêté attention aux crimes des accusés », a-t-il déclaré.
Herry a été inculpé conformément à l’article 81, paragraphe (1), paragraphes (3) et (5) jo article 76D de la loi Ri n° 17 de 2016 sur les amendements à la loi n° 23 de 2002 sur la protection de l’enfance et à l’article 65 paragraphe (1) du Code pénal comme premier acte d’accusation.