Quatre WNI Condamnés à 4 Ans De Prison à Johor En Malaisie
JAKARTA - La Haute Cour malaise de Johor Bahru, en Malaisie, a condamné quatre citoyens indonésiens à quatre ans de prison pour trafic, le mercredi 26 août.
Il s’agit d’Agus Juhari (63 ans) Lombok, Ngadiman (43 ans) Semarang, Misniati (58 ans) Banyuwangi épouse d’Agus Juhari et Hijrah (40 ans) de Lombok.
Dans le procès dirigé par le juge Shahnaz Binti Sulaiman, ils ont plaidé coupables après avoir été inculpés de l’article 26 H contre la traite et le trafic de migrants 2007 (article 679) Article 26 H.
Le procureur a déclaré dans son acte d’accusation, agissant au nom du trafic de migrants le 16 décembre 2018, que le plaignant (dénonciateur) et des policiers de la section des enquêtes criminelles du poste de police de Kota Tinggi s’étaient réfugiés dans une maison de Kampung Panti, dans la haute ville de Johor.
Une fois sur place, la plaignante a trouvé deux hommes et une femme (accusés) dans le salon de la maison dans des circonstances suspectes.
Le plaignant s’est identifié comme étant un agent de police et les trois hommes n’avaient pas de documents de voyage valides.
Puis les trois accusés invités à une chambre dans la chambre, puis en elle a été trouvé un homme, accusé de quatre et deux femmes indonésiennes.
Les personnes arrêtées en plus des quatre accusés sont deux travailleurs migrants Hasan Basri et Leni.
Selon l’enquête, les deux travailleurs migrants voulaient retourner en Indonésie en utilisant la route secondaire.
Dans cette affaire, les quatre accusés se sont occupés de leur retour à la maison et ont donné un abri temporaire à Kampung Panti, Kota Tinggi.
Tous les migrants qui ont été introduits clandestinement ont été inculpés devant le tribunal pour entrée injustifiée en Malaisie sans documents valides et condamnés à 5 mois de prison.
Les deux hommes sont rentrés dans leur pays d’origine après avoir purgé leur peine.
Le Procureur Nur Baiduri Binti Mustakim a déclaré que l’accusé avait joué un rôle actif dans la protection des travailleurs migrants clandestins et qu’il avait commis des erreurs en vertu de l’article 26 H de la Loi anti-traite des personnes.