Raisons Pour Lesquelles PSSI Implique La Police Pour Fixer Le Score
JAKARTA - La All Indonesia Football Association (PSSI) enquête toujours sur la fixation des scores qui ont eu lieu au club de Liga 2, Perserang Serang. Après avoir imposé des sanctions aux auteurs du club, PSSI signale maintenant à la police en raison de ses limites dans l’enquête.
« Après que la commission de discipline de la PSSI a décidé de la punition des joueurs de perserang, nous avons également suivi en signalant aux autorités, à savoir la police (Polda Metro Jaya) », a déclaré le président de la pssi, Mochamad Iriawan, cité par VOI sur le site officiel de la PSSI.
PSSI a en effet obtenu cinq noms d’acteurs truqués de matchs au club perserang et l’a condamné à une interdiction de jouer et à des amendes. Malheureusement, le cerveau principal derrière cette fraude n’est toujours pas reniflé.
Les efforts déployés par PSSI pour enquêter sur les principaux auteurs sont également limités. En effet, selon Moch Iriawan, la fédération n’a pas le pouvoir d’appeler et d’enquêter sur des personnes qui ne sont pas de la « famille du football ».
De plus, PSSI a également des limites technologiques pour pouvoir suivre les numéros confidentiels qui correspondent à des matchs truqués avec les joueurs.
« Ce rapport, nous le faisons pour que nous puissions savoir en détail qui des étrangers ont contacté le joueur. De plus, la partie extérieure contactée à l’aide d’un numéro privé », a expliqué Ketum PSSI.
Auparavant, on savait que les matchs truqués dans le camp de Perserang étaient effectués par un joueur nommé Eka Dwi Susanto qui invitait ensuite un certain nombre d’autres joueurs à lancer la tricherie. Au début, Eka a admis qu’elle avait reçu un appel d’un numéro personnel lui demandant de lancer cette action.
L’utilisation de numéros personnels est ce qui rend alors PSSI limité dans l’enquête pour découvrir l’identité de l’agresseur. La police est alors impliquée pour pouvoir aider à retrouver et à trouver l’appelant, car la police dispose d’une cyber-unité considérée comme compétente pour traiter l’affaire.