Partager:

La NASA rend compte des étapes qu’elle a franchies dans la nouvelle technologie de bras robotique testée sur la Station spatiale internationale. Le nouveau bras est destiné à servir à la manipulation à usage général un peu similaire aux tâches que les astronautes gèrent.

L’ISS dispose déjà de bras robotiques situés à l’extérieur, tels que le Canadarm2, qui aident à diverses tâches majeures, et d’un bras robotique de laboratoire Kibo spécialement utilisé pour les expériences menées sur ce module.

Le Canadarm original a été lancé en tant que composante de la navette spatiale Columbia en 1981. Il sert à manœuvrer la charge utile hors de la baie de la navette. Il est sous le contrôle des astronautes à l’intérieur de la navette spatiale.

Après 90 missions, le premier bras robotique a finalement été retiré et remplacé par le Canadarm2 sur l’ISS. Ce bras robotique beaucoup plus sophistiqué peut être déplacé à l’extérieur de la Station spatiale internationale, de bout en bout, pour aider à manipuler de gros objets tout en fournissant un retour de force aux astronautes et en utilisant l’évitement automatique des collisions.

Le dernier bras robotique à arriver à la Station spatiale internationale est le gitai S1, un robot semi-autonome qui peut opérer à l’intérieur ou à l’extérieur du vaisseau spatial. Le bras a été testé au nouveau Bishop Airlock Nanoracks, le premier ajout commercial permanent à l’ISS.

Gita S1 a atteint le niveau de maturité technologique 7 et le maximum est de 9. Cela signifie que le prototype a passé un test simulé dans l’espace. Pour atteindre le TRL 8, le modèle de production réel doit effectuer des tests sur le terrain ou dans l’espace.

TRL 9 signifie utilisé avec succès dans des missions réelles. Le bras utilise une combinaison d’opérations autonomes et est guidé par des équipes au sol pour alimenter des interrupteurs, appuyer sur des boutons et même assembler des équipements technologiques, tels que des panneaux solaires. Le plan est que le bras robotique gère les missions qui peuvent être dangereuses pour les astronautes.

Robots travaillant avec des astronautes

Le plan de la NASA pour les bras robotiques et même les robots complets est de travailler aux côtés des astronautes, pas de les remplacer. Les bras robotiques peuvent fonctionner dans des conditions dangereuses et manipuler des objets qui ne peuvent pas être gérés par les humains.

Les sorties dans l’espace sont intrinsèquement dangereuses et exigent de la force physique. Si l’entretien de routine et d’autres tâches peuvent être gérés par des bras robotiques, cela rend la vie plus facile et plus sûre pour les astronautes.

Gitai S1 est conçu pour manipuler des commutateurs et des objets que les astronautes pourraient également utiliser. Si les astronautes sont remplacés, les commutateurs seront électroniques plutôt que physiques.

À l’avenir, les bras robotiques tels que le Gitai S1 et les appareils plus grands pourraient jouer un rôle dans le travail effectué sur les missions en profondeur vers la Lune ou Mars, où les robots pourraient préparer la voie aux voyageurs humains. Étant donné que le Gitai S1 peut gérer plusieurs tâches indépendamment et peut être contrôlé à distance, cela ouvre cette télécommande pour une variété de missions.

Bien que d’autres tests seront nécessaires avant que ce bras robotique puisse être utilisé dans la mission réelle, il s’agit d’une étape majeure pour gitai S1 d’atteindre le niveau de préparation technologique 7.


The English, Chinese, Japanese, Arabic, and French versions are automatically generated by the AI. So there may still be inaccuracies in translating, please always see Indonesian as our main language. (system supported by DigitalSiber.id)