Une nouvelle étude spatiale a révélé que l’utilisation de méthodes d’interférence nucléaire est une solution efficace dans les scénarios d’urgence où les astéroïdes sont dans les dernières étapes d’une trajectoire de collision avec la Terre.
Lorsqu’il s’agit d’éviter des impacts d’astéroïdes potentiellement catastrophiques, plusieurs théories sont actuellement testées en fonction de la quantité de préparation nécessaire et, bien sûr, de la taille des corps célestes entrants. Le modèle de déviation cinétique, par exemple, propose une petite explosion à la surface d’un astéroïde pour le dévier et éviter l’impact.
Une autre version de cette stratégie consiste à envoyer un vaisseau spatial dans l’espace et à l’écraser sur un astéroïde pour le faire tomber. La NASA teste actuellement cette approche dans le cadre du projet de défense planétaire DART.
Le modèle de tracteur gravitaire de l’astéroïde propose l’utilisation de grands engins spatiaux planant au-dessus des astéroïdes et interagissant gravitationnellement avec eux afin que les astéroïdes soient poussés sur des orbites non menaçantes.
Il existe également des tactiques qui impliquent l’utilisation de la lumière du soleil focalisé pour vaporiser une partie de la matière de la surface de l’astéroïde, un processus qui créerait une poussée et dévierait l’astéroïde de sa trajectoire de collision. Cependant, la plupart des solutions mentionnées ci-dessus nécessitent beaucoup de temps et de préparation, c’est là que les tactiques de distraction semblent plus efficaces.
Mais jusqu’à présent, le risque associé à la perturbation est que la division de l’astéroïde en petites parties pourrait attirer certains fragments vers la Terre et provoquer un impact plus faible. Maintenant, une nouvelle étude utilisant des techniques avancées de simulation d’impact a révélé que les techniques de perturbation nucléaire peuvent en effet sauver la Terre des impacts d’astéroïdes apparaissant sur le radar un peu trop tard pour la préparation.
Les scientifiques ont utilisé un logiciel appelé Spheral qui a modélisé la destruction nucléaire des astéroïdes, puis a étudié les trajectoires gravitationnelles des fragments pour voir s’ils pouvaient voler en toute sécurité au-delà de la Terre. Les simulations hydroélectriques testées sur au moins cinq astéroïdes prouvent que l’interférence nucléaire est une méthode finale viable pour prévenir les impacts d’astéroïdes.
Dans le cadre de l’étude, les scientifiques ont virtuellement déployé un dispositif nucléaire de 1 mégatonne qui a explosé à quelques mètres d’un astéroïde en forme de Bennu de 100 mètres. Bennu est le même astéroïde qui a une probabilité de 0,037% d’avoir un impact avec la Terre d’ici 2182.
L’équipe à l’origine de la dernière étude, qui a été publiée dans Acta Astronautica, a déclaré que si la perturbation nucléaire calculée avait été effectuée deux mois plus tôt, alors l’astéroïde était sur le point de frapper la Terre, 99,99% de la masse de l’astéroïde aurait manqué la Terre.
L’événement de perturbation proposé diminuerait la fraction massique des collisions d’un facteur de 1 000 ou plus. Même si l’astéroïde était plus gros, une nuisance nucléaire effectuée six mois avant la date de l’impact serait suffisamment efficace pour que 99% de ses fragments survolent la Terre sans poser de risque.
Cependant, c’est une tâche intimidante de suivre la trajectoire de chaque fragment brisé en étudiant ses interactions gravitationnelles avec d’autres fragments dans les nuages de débris, la Terre et le Soleil. De plus, il y a encore une petite chance que certains des fragments qui se rompent après une nuisance nucléaire puissent pénétrer dans l’atmosphère terrestre.
Dans l’ensemble, l’équipe a conclu que l’interférence nucléaire est toujours la méthode la plus efficace pour prévenir un impact d’urgence d’astéroïde à la fin des temps. Cependant, des méthodes cinétiques doivent être utilisées s’il y a suffisamment de temps pour se préparer. Mais les astéroïdes se présentent sous de nombreuses formes et tailles, de sorte que des simulations plus sophistiquées sont nécessaires pour mieux évaluer la faisabilité d’un événement de perturbation nucléaire en dernier recours.
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