JAKARTA - La Commission européenne a demandé aux YouTube, Snapchat et TikTok des informations mercredi 2 septembre concernant les paramètres utilisés par leurs algorithmes pour recommander du contenu aux utilisateurs, ainsi que leur rôle dans l’expansion des risques systémiques, y compris ceux liés au processus électoral, à la santé mentale et à la protection des mineurs.
La demande est soumise sur la base de la loi sur les services numériques (DSA) et « comprend également les mesures prises par la plate-forme pour réduire l’impact potentiel de son système de recommandation sur la diffusion de contenus illégaux, tels que la promotion de drogues et les discours de haine », selon un communiqué de la Commission européenne.
La Commission européenne a également demandé à TikTok d’informations supplémentaires sur les mesures prises par les entreprises pour empêcher les acteurs malveillants de manipuler les demandes, ainsi que les efforts visant à réduire les risques liés aux élections et au discours civil.
La société technologique est tenue de fournir les informations demandées au plus tard le 15 novembre. Après avoir reçu ces informations, la commission décidera de prochaines étapes, qui peuvent inclure l’imposition d’amendes.
Auparavant, l’Union européenne avait ouvert un processus de violation lié à la non-conformité au DSA, exigeant que les grandes entreprises technologiques soient plus actives dans la gestion du contenu illégal et nuisible sur leurs plateformes. Ce processus comprend également les recommandations de Facebook et Instagram de Meta, AliExpress et TikTok.
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