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JAKARTA - Les gouvernements canadiens et Google ont conclu un accord pour garder les nouvelles apparaissantes dans les résultats de la recherche et pour payer 100 millions de Kanda (environ 1,1 billion de roupies) chaque année aux éditeurs de nouvelles du pays. C’est ce qu’a déclaré des responsables canadiens mercredi 29 novembre.

L’accord résoudra les préoccupations de Google, détenues par Alphabet, concernant une loi canadienne sur les nouvelles en ligne visant à permettre aux grandes entreprises d’Internet de partager les revenus publicitaires avec les éditeurs de nouvelles du pays.

« Après des mois de discussions productives, je suis heureux d’annoncer que nous avons trouvé une voie à suivre avec Google pour mettre en œuvre l’acte sur les nouvelles en ligne », a déclaré le ministre du patrimoine, Pascale St-O ge, dans un communiqué.

L’acte canadien d’informations en ligne, dans le cadre d’une tendance mondiale versant aux grandes entreprises d’Internet à payer pour les nouvelles, a été adopté en juin et le gouvernement finit par les règles qui devraient être publiées d’ici le 19 décembre.

Google confirme qu’Ottawa s’est engagée à résoudre son problème fondamental et que les nouvelles resteront disponibles sur sa plate-forme canadienne.

Plus tôt, Google a déclaré qu’il blocerait les nouvelles sur sa plate-forme, citant les lois canadiennes plus strictes que en Europe et en Australie, et suscrivant des inquiétudes quant au fait que la société ne soit portée sur des responsabilités potentielles illimitées.

Meta Platforms, une autre société Internet ciblée par la loi, a bloqué le partage de nouvelles sur Facebook et Instagram sur des préoccupations liées à la loi.

St-Ongé a déclaré que l’accord avec Google montrait que la nouvelle loi était efficace et a invité Facebook à clarifier sa décision de bloquer le partage de nouvelles au Canada.

Il a ajouté que le Canada pourrait rouvrir des accords avec Google à l’avenir s’il y a un meilleur accord ailleurs dans le monde.

Le mois dernier, Google a conclu un accord pour payer à un groupe d’éditeurs allemands 3,2 millions d’euros par an pour leurs publications de contenu d’actualités.

Dans un communiqué, un porte-parole de Meta a déclaré que sa décision restait impair.

« Contrairement aux moteurs de recherche, nous ne prenons pas activement des nouvelles d’Internet pour être placées sur nos spams d’utilisateurs et nous avons longtemps déclaré que la seule façon de nous conformer naturellement à la loi sur les nouvelles en ligne est de mettre fin à la disponibilité des nouvelles au public canadien », a déclaré le porte-parole.

La loi est intervenue après les plaintes de l’industrie canadienne des médias, qui exigeaient des réglementations plus strictes contre les entreprises technologiques pour les empêcher de détourner les activités d’actualités du marché publicitaire en ligne.

Dans le cadre d’un accord avec le Canada, Google apportera une contribution de 100 millions de dollars canadiens chaque année, indexée sur l’inflation, aux entreprises d’informations, et la société aura la possibilité de travailler avec un seul collectif pour distribuer ces fonds.

« C’est très bonne nouvelle », a déclaré le Premier ministre Justin Trudeau aux journalistes à Ottawa. « C’est un accord, un accord qui aura un impact dans le monde entier. »

Paul Deegan, président exécutif de News Media Canada, a salué l’accord et remercié le gouvernement d’avoir assuré une compensation en espèces à l’éditeur.

« Nous félicitons Google pour sa approche honnête et socialement responsable », a ajouté Deegan dans le communiqué.

Les nouvelles de cet accord ont été rapportées pour la première fois par CBC News Canada.


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