JAKARTA - Israël aurait coupé la liste des pays éligibles pour acheter sa cybertechn technologie à la suite de préoccupations concernant de possibles abus à l’étranger des outils de piratage vendus par la société israélienne NSO Group. C’est ce qu’a rapporté le journal financier israélien Calcalist le jeudi 25 novembre.
Le journal n’a pas révélé sa source, affirmant que le Mexique, le Maroc, l’Arabie saoudite, le Mexique et les Émirats arabes unis font partie des pays qui seront désormais interdits d’importer de la cybertechn technologie israélienne. La liste des États autorisés à l’acheter a été réduite à seulement 37 États, contre 102 auparions.
Le ministère israélien de la Défense, en réponse au rapport, a déclaré dans un communiqué qu’il prenait des « mesures appropriées » lorsque les conditions d’utilisation stipulées dans sa licence d’exportation ont été violées, mais n’a pas confirmé que la licence avait été révoquée.
Plus tôt ce mois-ci, des responsables américains ont placé NSO sur une liste noire commerciale pour avoir vendu des logiciels espions à des gouvernements qui en abusent. La société s’est dite déçue de la décision, car la technologie « soutient les intérêts et les politiques de sécurité nationale des États-Unis en prévenant le terrorisme et la criminalité ».
Israël subit des pressions de la part de nombreux pays du monde entier pour contrôler les exportations de logiciels espions depuis juillet dernier, lorsqu’un groupe d’organisations de presse internationales a rapporté que l’outil Pegasus de NSO avait été utilisé pour pirater les téléphones de journalistes, de responsables gouvernementaux et de militants des droits de l’homme dans plusieurs pays.
Le rapport a incité Israël à revoir la politique d’exportation de cybertechn technologies gérée par le ministère de la Défense.
Le Maroc et les Émirats arabes unis, qui ont tous deux normalisé leurs relations avec Israël l’année dernière, ainsi que l’Arabie saoudite et le Mexique font partie des pays où Pegasus a été lié à la surveillance politique, selon Amnesty International et le Citizen Lab de l’Université de Toronto qui ont étudié la surveillance, comme l’a mentionné Reuters.
NSO a nié tout acte répréhensible, affirmant qu’il ne vendait ses outils qu’aux gouvernements et aux organismes d’application de la loi et qu’il avait mis en place des mesures de protection pour prévenir les abus.
NSO fait également face à des poursuites judiciaires et à des critiques de la part de grandes entreprises technologiques qui l’accusent d’exposer ses clients au piratage. Apple Inc (AAPL. O) est le dernier à poursuivre NSO cette semaine.
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