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JAKARTA - L'Allemagne est connue pour sa grandeur de l'industrie automobile, et est maintenant confrontée à des tests les plus difficiles. Leur succès, qui repose sur une collaboration étroite entre entre entre entre entrepreneurs, les syndicats et le gouvernement, risque d'effondrer.

La cause? La perte d’accès à l’énergie bon marché de la Russie, l’incertitude des relations commerciales avec la Chine et maintenant, la perte potentielle de relations avec les travailleurs qui ont été caractéristique, a rapporté Reuters, au milieu de la semaine dernière.

Volkswagen, l’un des plus grands constructeurs automobiles allemand, par exemple, envisage maintenant de prendre des mesures drastiques pour surmonter sa situation financière.

Dans une interview accordée au journal Azad am mai, et cité par Reuters, le 8 septembre, le PDG de Volkswagen, Oliver Blume, a déclaré que le « gâteau » du marché européen était de plus en plus rétrécissant tandis que les « clients » qui l’apprécient de plus en plus. Blume a expliqué: « Les ventes de voitures en Europe diminuent, tandis que, en même temps, de nouveaux concurrents d’Asie entrent rapidement sur ce marché. »

Cette déclaration s’accompagne d’un plan de restructuration massif. Volkswagen envisageait de fermer une usine en Allemagne, une étape qu’il n’a jamais prise auparavant. Non seulement cela, les garanties d’emploi dans six autres usines sont également menacées d’être levées. Cette mesure a été prise pour soutenir un programme d’économie de coûts de 10 milliards d’euros (environ 172 billions de roupies).

Cette décision soulève certainement des préoccupations. La fermeture d’usines et la perte d’assurance d’emploi pourraient avoir un impact négatif sur l’économie allemande, en particulier le secteur automobile.

On ne sait pas encore exactement quelles usines sont menacées de fermeture. Cependant, ces nouvelles sont un fort signal que Volkswagen est confronté à de graves défis. Cette étape de restructuration pourra-t-elle sauver le géant automobile européen?

Pendant ce temps, a rapporté le Guardian, le 8 septembre, ce qui s’est passé à Volkswagen a été comparé à un « tremblement de terre majeur ». En tant que plus grand fabricant d’automobiles d’Allemagne, la crise du VW est considérée comme un problème national parce qu’il n’y a jamais eu auparavant de menaces de ses travailleurs dans leurs propres pays.

En fait, le « tremblement de terre chez Volkswagen » est devenu le principal article dans le blog Wolfsburger Story, un journal circulant dans des villes du nord allemand qui s'identifiaient aux constructeurs automobiles.


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