JAKARTA - Il y a eu un incident avec le grand navire appartenant à Greenpeace, le Rainbow Warrior, s’est échoué dans le port d’Auckland, Nouvelle-Zélande après avoir été attaqué par une bombe en 1985. Français agents secrets étaient prévus pour être derrière l’explosion. Comment s’asseoir sur l’affaire ?
Tel que proclamé The Age, qui a été réécrit the Sydney Morning Herald, l’incident s’est produit le 10 juillet il y a 35 ans, ou en 1985.
A cette époque, le chalutier transformé en flotte principale du groupe international de conservation Greenpeace, le Rainbow Warrior, protestait contre l’essai nucléaire français dans le Pacifique Sud. À l’avant-manifestation, ils ont été secoués par deux explosions à minuit. En l’espace de quatre minutes, le navire a coulé.
Un trou de deux mètres dans le navire prouve qu’il y a eu un bombardement dans la coque. « L’examen du forage prouve que nous avons affaire à un cas de sabotage d’explosifs », a déclaré la police locale, surintendant de la supervision Alan Galbraith.
À la suite de l’incident, au moins un photographe néerlandais Fernando Pereira a été tué tandis que 14 autres ont réussi à survivre. Pereira est mort pris au piège dans la salle des machines du navire tandis que les autres ont réussi à s’échapper.
Deux jours après l’incident, comme l’a écrit History, Français autorités ont nié toute implication dans l’incident. Ils ont continué à discuter même après que la police néo-zélandaise a arrêté Français agents des services secrets à Auckland.
Sous la pression du gouvernement néo-zélandais, le gouvernement Français a finalement accepté de former une équipe d’enquête pour enquêter sur l’incident. Après plusieurs semaines d’enquête, Français agents de l’Français auraient espionné Greenpeace.
Vers la fin de l’année, les journaux britanniques ont déclaré qu’il y avait des preuves de l’autorité du Français françois Mitterrand concernant le projet d’attentat. Elle a été suivie d’une démission dans le cabinet de Mitterrand. Et enfin Français premier ministre Laurent Fabius a admis que les agents avaient coulé le navire sous ses ordres.
Pendant ce temps à Auckland, les deux agents ont admis qu’ils avaient tort. Chacun d’eux a été condamné à 10 ans de prison pour meurtre et vandalisme. Après avoir fait pression sur le Français, la Nouvelle-Zélande les a libérés un an plus tard.
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