JAKARTA - Le ministre des Finances Sri Mulyani Indrawati vise le déficit budgétaire des recettes et des dépenses de l’État (APBN) pour le budget 2021 à l’échelle de 2,45-2,82% du produit intérieur brut (PIB).
« Le déficit budgétaire devrait se situer entre 2,45 et 2,82 % du PIB », a déclaré Sri Mulyani lors de la réunion plénière de la Chambre des représentants sur la soumission du gouvernement au cadre macroéconomique et à la politique budgétaire à Jakarta, citée par Antara, lundi 20 mai.
Les recettes de l’État sont de l’ordre de 12,14% à 12,36% du PIB. La politique d’optimisation des recettes de l’État (cueillage de plus) est mise en œuvre tout en maintenant un climat d’investissement et d’affaires et en conservant l’environnement.
Il a été réalisé par trois façons: une mise en œuvre plus saine et équitable de la Loi sur l’harmonisation de la réglementation fiscale (HPP), une élargissement de la base fiscale et une conformité accrue des contribuables.
La mise en œuvre de l’expansion de la base fiscale se réfère à l’Accord mondial de taxation, qui est par le biais de la fiscalité des entreprises multinationales effectuant des transactions transnationales.
Pendant ce temps, l’augmentation du respect des obligations fiscales est réalisée grâce à une surveillance régionale, à l’intégration technologique et à un renforcement des synergies entre les agences / institutions.
Le gouvernement apporte des incitations fiscales de manière directe et mesurée à divers secteurs stratégiques afin de soutenir l’accélération de la transformation économique. Pendant ce temps, le renforcement du PNBP se fait par l’optimisation de la gestion SDA, l’amélioration de la gouvernance, l’innovation des services publics et l’encouragement à des réformes de gestion des actifs du pays.
D’autre part, les dépenses de l’État sont estimées à l’ordre de 14,59% à 15,18% du PIB.
Les politiques budgétaires de l’État visent à un renforcement des dépenses améliorées, qui sont tirées par une efficacité des dépenses non prioritaires, un renforcement des dépenses productives, une efficacité des subventions et des bansos, ainsi qu’un renforcement des perlinsos basés sur l’autonomisation pour accélérer la pauvreté et l’écart.
En ce qui concerne les subventions et les bansos, le ministre des Finances a déclaré qu’il y aurait une meilleure précision des données, des améliorations du mécanisme de distribution et des synergies entre les programmes pertinents.
Le gouvernement renforcera également la synergie et l’harmonisation des politiques centrales et régionales pour une qualité d’achat productive et indépendante.
Les efforts déployés pour combler le déficit sont d’encourager des financements innovants, sages et durables.
Un certain nombre de mesures en question comprennent l’encouragement de l’efficacité du financement des investissements, l’utilisation du sal pour anticiper l’incertitude, l’accès accru au financement pour les personnes à faible revenu (MBR) et les MPME, et l’encouragement d’une coopération durable entre le gouvernement et les entités commerciales (KPPU).
Le ministre des Finances veille également à ce que le ratio de la dette soit contrôlé dans les limites gérées de 37,98 à 38,71 % du PIB.
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