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Angel Di Maria, Roberto Mancini et Gianluca Vialli sont trois des figures clés du football nommées dans les documents divulgués connus sous le nom de Pandora Papers.

Les Pandora Papers sont le résultat d’une enquête menée par le Consortium international des journalistes d’investigation ou ICIJ. L’enquête a impliqué plus de 600 journalistes de 150 médias dans 117 pays.

L’enquête est basée sur la fuite de données confidentielles de 14 sociétés offshore qui réglementent les sociétés écrans dans les paradis fiscaux.

Jusqu’à présent, les Pandora Papers ont découvert un certain nombre de comptes offshore basés sur des paradis fiscaux, dont certains appartiennent à des dirigeants mondiaux.

Di Maria, quant à lui, a été condamné à une amende de deux millions d’euros par la justice espagnole pour ne pas avoir payé d’impôts sur ses revenus de droits à l’image lors de la saison 2012/13 pendant son mandat au Real Madrid.

Cependant, la star argentine continue d’envoyer une partie de ses revenus à la société Sunpex, fondée par lui et basée au Panama.

Selon L’Espresso, le joueur du Paris Saint-Germain a signé un accord avec Sunpex pour recevoir les bénéfices d’Adidas.

Alors que plusieurs autres entreprises négociaient le montant du financement de certaines campagnes publicitaires Di Maria, certaines d’entre elles valaient 150 000 euros ou l’équivalent de 2,46 milliards de rp.

Mancini et Vialli ont également été impliqués dans les Pandora Papers. Contrairement à di Maria, leur cas est une société offshore basée dans les îles Vierges britanniques, dans les Caraïbes.

L’entraîneur de l’équipe nationale italienne Mancio serait actionnaire d’une société appelée Bastian Asset Holdings, qui possède, entre autres, un avion.


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