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JAKARTA - Les organisateurs des Jeux olympiques de Tokyo prépareront environ 150 mille préservatifs pour les athlètes participants. Il s’agissait d’une campagne visant à faire mieux comprendre les dangers du VIH/sida.

Cependant, les organisateurs ont exhorté les athlètes à ramener le préservatif à la maison en cadeau, au lieu de leur permettre de l’utiliser dans le village olympique. La raison en est la COVID-19.

Dans le village olympique, les organisateurs mettent en œuvre des règles strictes de maintien de la distance et des protocoles sanitaires. En d’autres termes, il y a aussi peu de chances pour eux de socialiser avec des étrangers, et encore moins d’avoir des relations sexuelles.

« La distribution de préservatifs n’est pas destinée à être utilisée dans les villages d’athlètes, mais à ramener à la maison dans leurs pays respectifs pour améliorer la compréhension des problèmes de VIH et de sida », ont expliqué les organisateurs dans un courriel envoyé à Reuters.

Les organisateurs ont également interdit les spectateurs venus de l’étranger. Les organisateurs ont également exhorté la foule sur le terrain à ne donner de l’aide que par des applaudissements.

Il est interdit de crier. Sans parler de chanter yel-yel. « Nous devons faire ce que nous pouvons pour nous assurer que l’éclosion ne se produise pas, et nous avons besoin de la coopération des athlètes et des délégués pour en faire un succès. »

Campagnes en cours
Photo d’illustration (Reproductive Health Supplies Coalition/Unsplash)

La tradition du partage de préservatifs n’est pas la première fois qu’il est présenté lors d’un événement olympique. Depuis les Jeux olympiques de Séoul en 1988, les organisateurs mènent cette campagne. Le résultat est populiste. Les organisateurs ont accepté de poursuivre le mouvement.

En se référant aux données publiées par le Centre de données et d’information du ministère de la Santé 2017, 35 millions de personnes dans le monde vivent actuellement avec le VIH. De ce nombre, 19 millions dans le monde ne savaient pas qu’ils étaient séropositifs.

Si l’on examine les tendances depuis 2011, on observe le nombre de cas de VIH qui a tendance à augmenter chaque année. Pendant ce temps, les cas de sida sont relativement stables.

Cela indique que de plus en plus de personnes atteintes du VIH/sida (ODHA) sont toujours infectées mais ne sont pas entrées dans le stade du sida. N’oubliez pas que le VIH et le sida sont deux choses différentes.

Citant le site Web de Halodoc, le VIH est le virus. Le virus cause des dommages au système immunitaire. Le terme VIH lui-même signifie virus de l’immunodéficience humaine.

De son nom, nous pouvons comprendre que le VIH ne peut être transmis que chez l’homme et attaquer le système immunitaire. Lorsque l’infection par le VIH se propage, le sisem immunitaire dans le corps ne peut pas fonctionner de manière optimale.

Pendant ce temps, le sida (syndrome d’immunodéficience acquise) est une condition qui se produit en raison de l’infection par le VIH. Lorsque le VIH s’attaque à une personne et qu’il est laissé sans traitement, l’infection peut se développer jusqu’à ce qu’elle entre dans une maladie du sida.

Cependant, plusieurs traitements peuvent être administrés pour contrôler efficacement le virus afin que son cycle de vie s’arrête. L’un d’eux est l’antirétroviral.

*Lire plus d’informations sur le VIH/sida ou lire d’autres écrits intéressants de Ramdan Febrian.

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