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JAKARTA - Président Joko Widodo (Jokowi) a demandé à son personnel de réduire l’allocation pour congé collectif à la fin de l’année pour empêcher une augmentation des cas COVID-19.

Le ministre coordonnateur du développement humain et de la culture (Menko PMK) Muhadjir Effendy a fait la demande de Jokowi concernant la réduction de l’indemnité de congé conjoint après avoir assisté à une réunion limitée concernant le traitement du COVID-19 au Palais d’État de Jakarta. Lors de cette réunion, a déclaré Muhadjir, Jokowi a demandé que le congé conjoint de fin d’année et le congé de remplacement de l’Aïd al-Fitr soient réduits.

En outre, l’ancien ministre de l’Éducation et de la Culture (Mendikbud) a déclaré que Jokowi avait également demandé au ministère coordonnateur du PMK de tenir une réunion de coordination avec les ministères et institutions concernés afin de fixer une date pour réduire la période de congé collectif à la fin de l’année.

L’épidémiologiste de l’Université Griffith d’Australie Dicky Budiman a apprécié la demande de réduction de l’allocation de congé partagé. Il a dit, ce souhait était juste, surtout quand le groupe de vacances se produit souvent quand il ya de longues vacances qui est ensuite utilisé par la communauté pour des vacances.

« Donc, cette longue taille de vacances est juste. Dans le cas de cette longue fête, nous voulons la réduire en ce sens que Noël n’est que Noël, veulent la veille ou après mais ne quittent pas la région. Ou le Nouvel An. Pour cette raison, nous apprenons des événements des longues vacances précédentes. « a déclaré Dicky lorsqu’il a été contacté par VOI, mardi 24 Novembre.

Il a expliqué que le moment des longues vacances du mois précédent s’est avéré avoir un impact sur l’augmentation du nombre de cas covid-19 dans le pays. Ceci est basé sur l’occurrence du mouvement ou de la mobilisation de masse d’un endroit à l’autre et de l’interaction humaine de haute intensité.

Toutefois, a rappelé M. Dicky, le gouvernement ne suffit pas seulement à réduire l’allocation de congé collectif à la fin de cette année. Le gouvernement, a-t-il poursuivi, doit interdire toute forme d’activités qui provoquent des foules au milieu de la pandémie covid-19, y compris les activités de Pilkada 2020.

« Ce n’est donc pas seulement de longues vacances à la fin de l’année, tout type d’activité qui se traduit par une mobilisation de masse, un mouvement de masse et une interaction de masse qui continue de se produire sera très risqué dans l’aggravation de la propagation du COVID-19. Parmi eux, bien sûr, comprend des manifestations, des foules de masse, y compris des élections régionales. , « at-il dit.

« Donc, cela ne peut pas être, oh c’est un séjour limité longue, celui-ci est correct. Il ne peut pas, parce que ce virus voit lesquels ils peuvent et facilement attraper », at-il ajouté.

En outre, Dicky a également mentionné que les conditions actuelles de contrôle de la pandémie de COVID-19 en Indonésie sont encore loin d’être sûres. En outre, si vous regardez le taux de positivité du COVID-19 dans le pays, il est toujours dans les dizaines de pour cent, tandis que la norme de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) ce chiffre devrait être inférieur à cinq pour cent.

« Ensuite, le taux de mortalité en Indonésie est également élevé en ce moment. Et il n’y a pas eu de réduction significative du nombre de cas en deux semaines consécutives. Pour que tout cela offre un climat favorable à la propagation du COVID-19 », a-t-il déclaré.

Les travailleurs ne sont pas d’accord

La réduction de cette allocation de congé conjoint est également devenue un point culminant pour les groupes de travailleurs. Bien qu’il ait déclaré que la décision de réduire le congé serait examinée en premier, le Secrétaire général du Conseil exécutif central de la Fédération des travailleurs indonésiens de la métallurgie (FSPMI) Riden Hatam Azis a souligné que les travailleurs ont le droit de partir.

« Il ne faut pas réduire les congés parce que c’est le droit du travailleur », a déclaré M. Riden lorsqu’on l’a contacté.

De plus, il a évalué que le COVID-19 actuel, il existe des procédures de manipulation et de prévention. C’est juste que, parce que le gouvernement est toujours préoccupé par les problèmes économiques, il semble que la gestion du COVID-19 est comme s’il n’y avait pas de progrès et rend le public confus.

« Covid-19 n’est donc pas terminée, mais l’économie n’est pas mieux non plus, dit-il.

Les entrepreneurs de l’hôtellerie et de la restauration s’apprêtent à se mordre les doigts

Maulana Yusran, vice-présidente de l’Association indonésienne des hôtels et des restaurants (PHRI), a déclaré que la réduction des vacances à la fin de cette année aura certainement un impact sur les restaurants et les hôtels en particulier. En outre, les vacances de fin d’année sont l’un des trois élans qui peuvent être utilisés pour gagner du chiffre d’affaires, en plus des vacances de l’Aïd et des mises à niveau de classe qui ont passé au début de l’année.

« Il y a donc trois du point de vue des hôtels, à savoir l’Aïd qui est le plus grand mouvement, les vacances scolaires et le Nouvel An de Noël. Pour d’autres vacances, il y a des mouvements, mais le plus important est dans les trois », a déclaré Yusran.

De sorte qu’avec les conditions existantes, les longues vacances à la fin de cette année est l’un des espoirs pour les acteurs d’affaires, en particulier les hôtels et les restaurants, de survivre au milieu d’une pandémie.

« Donc, si on nous demande, qu’en est-il de l’existence d’une telle politique, oui, nous serons déçus parce que le problème est que pour nous, les acteurs commerciaux sont un espoir. Chaque jour férié est une attente qu’il y aura une augmentation », at-il ajouté.

Yusran a évalué que ce genre de réduction du congé était également inapproprié à faire. Selon lui, le gouvernement devrait trouver un moyen de surveiller les gens qui veulent vraiment prendre des vacances. En outre, jusqu’à présent, le secteur du tourisme, en particulier les restaurants et les hôtels, a suivi les règles du protocole de santé en pleine pandémie du COVID-19.

En outre, de nombreux acteurs de l’hôtellerie et de la restauration ont été touchés et ont contraint de nombreux employés de ce secteur à perdre leur emploi.

« Le gouvernement devrait exercer une fonction de surveillance dans la collectivité. Parce que qui effectue la surveillance dans la communauté? Le gouvernement. En outre, nous ne savons pas quand cette pandémie prendra fin, donc la chose la plus importante est le changement de comportement. Cela devrait être notre référence pour la mise en œuvre de 3M. (maintenir la distance, en utilisant des masques, et se laver les mains) est important. Donc, toutes les activités doivent être guidées par cette direction »,at-il dit.

« Donc, chaque fois qu’il ya un élan de vacances, il est utilisé comme un essai pour la façon dont cela peut fonctionner. Il y a eu plusieurs vacances, donc nous devrions être en mesure d’apprendre lequel est le problème, comment le limiter afin qu’il ne soit pas surchargé. il est affecté chaque fois qu’il ya une augmentation de COVID-19 »,at-il conclu.


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