JAKARTA - Deux hommes qui auraient tué une victime de l’Holocauste à Paris lors d’une attaque antisémite seront jugés. C’est ce qu’a indiqué directement le parquet de Paris.
Lancée par CNN, mercredi 15 juillet, la victime s’appelait Mireille Knoll. Il a été retrouvé mort dans son appartement parisien en 2018. Dans l’attaque qui a provoqué la colère Français la communauté, la femme de 85 ans a été poignardée onze fois et son appartement incendié.
Trois chefs d’accusation ont été confirmés le 10 juillet par le juge d’instruction. Premièrement, les deux hommes ont été accusés du meurtre d’une personne vulnérable en raison de la religion de la victime. Deuxièmement, il y a le vol grave. Et enfin, le mal avec des intentions néfastes envers l’individu.
L’un des tueurs était le voisin Knoll qui avait 27 ans au moment de l’agression à l’arme blanche. Il avait déjà été emprisonné pour avoir agressé sexuellement la fille de la femme de ménage Knoll.
Pendant ce temps, le deuxième suspect était un sans-abri qui avait 21 ans au moment du meurtre. Ces deux hommes ont soutenu qu’ils étaient innocents.
Outre les deux personnes, une personne a également été inculpée dans le cadre de cette affaire, accusée d’avoir « détruit des documents ou des objets relatifs à des crimes ou des infractions afin d’empêcher que la vérité ne soit confirmée ». Cette personne est maintenant sous contrôle judiciaire.
Échappé aux nazis« Dans ce cas, il y a finalement justice. Et rien d’autre », a posté sur Twitter William Goldnadel, avocat de la famille Knoll.
Selon le législateur Meyer Habib, Knoll a échappé à l’arrestation par Vel 'd’Hiv' en 1942. Les arrestations ont été ordonnées par les nazis et ont abouti à l’arrestation massive de 13 000 Juifs en France.
Les personnes arrêtées sur la piste cyclable du Vel’d’Hiv à Paris. Des milliers de ces personnes ont ensuite été envoyées au camp de concentration d’Auschwitz, en Pologne occupée par les nazis.
La mort de Knoll en 2018 a été condamnée par des personnalités politiques et des organisations juives à travers la France. Français président Emmanuel Macron a qualifié ces meurtres de « crime terrible ». Dans ses propos, M. Macron a également réaffirmé sa « détermination absolue à lutter contre l’antisémitisme ».
L’ancien ministre de l’Intérieur Christophe Castaner a déclaré que 687 incidents antisémites avaient été enregistrés en 2019 en France. Ce chiffre est en hausse de 27% par rapport à 2018 où il y avait 541 cas antisémites.
The English, Chinese, Japanese, Arabic, and French versions are automatically generated by the AI. So there may still be inaccuracies in translating, please always see Indonesian as our main language. (system supported by DigitalSiber.id)