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JAKARTA - Le coordinateur de la Société indonésienne de lutte contre la corruption (MAKI), Boyamin Saiman, a donné à la vice-présidente de KPK, Lili Pintauli Siregar, le temps de démissionner de son poste jusqu’en novembre prochain.

Si cela n’est pas fait, il signalera la violation de Lili au bureau du procureur général.

« Si novembre n’a pas démissionné, je soumettrai également un rapport au bureau du procureur général », a déclaré Boyamin aux journalistes, mardi 14 septembre.

Il a déclaré que ce rapport avait été délibérément fait au bureau du procureur général parce que Indonesia Corruption Watch (ICW) avait signalé à l’Unité des enquêtes criminelles de la Police nationale il y a quelque temps les violations qui ont conduit au crime de Lili Pintauli. Boyamin a également déclaré que ce rapport n’était pas mal orienté.

La raison en est que l’article 30 de la loi sur le procureur réglemente l’institution chargée de traiter les actes criminels réglementés par des lois spéciales.

« La preuve pour lutter contre la corruption est le bureau du procureur spécial », a déclaré Boyamin.

Si, plus tard, le rapport n’est pas suivi par le bureau du procureur général, MAKI intentera une action en justice avant le procès. Boyamin a déclaré que son parti avait donné trois mois. Il espère également que l’AGO pourra contrôler le KPK, notamment en ce qui concerne ses performances.

« Quelque chose ne va pas, à son tour. C’est vrai, dans le passé, le bureau du procureur général n’était pas correctement contrôlé ici (KPK, n.-é.). Oui, j’espère que le bureau du procureur général n’est pas une vengeance mais un équilibre », a déclaré Boyamin.

Pour information, Lili a été déclarée avoir violé le code de déontologie pour avoir abusé de son autorité à des fins personnelles et avoir rencontré directement les plaideurs, à savoir le maire de Tanjungbalai, M Syahrial, qui est un suspect dans l’affaire de corruption de positions d’achat et de vente.

En conséquence, le conseil de surveillance de KPK a imposé une sanction sous la forme d’une réduction de 40% du salaire de base pendant 12 mois ou de 1,8 million IDR contre 4 620 000 IDR.

Pour ses actes, Lili est également considérée comme ayant commis un acte interdit à l’article 36 de la loi numéro 20 de 2002 en contactant directement les plaideurs afin qu’ils puissent être condamnés à des sanctions pénales.


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