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JAKARTA - Le nombre de morts de COVID-19 dépasse un demi-million de personnes. Une étape sombre pour une pandémie mondiale qui semble résurgence dans certains pays, alors que d’autres régions sont encore aux prises avec la première vague.

Les maladies respiratoires causées par le nouveau coronavirus seraient dangereuses, en particulier pour les personnes âgées. Pendant ce temps, le taux global de mortalité est stable ces dernières semaines. Les experts de la santé se sont dits préoccupés par le nombre record de nouveaux cas dans des pays comme les États-Unis, l’Inde et le Brésil, ainsi que par de nouvelles flambées dans plusieurs pays d’Asie.

Plus de 4 700 personnes meurent toutes les 24 heures de maladies liées au COVID-19, selon la moyenne du 1er au 27 juin. Cela équivaut à 196 personnes par heure ou une personne toutes les 18 secondes.

Environ un quart de tous les décès à ce jour ont été aux États-Unis, selon Reuters le lundi 29 Juin. Le pic le plus récent dans les cas a été dans certains des États du sud et de l’ouest qui ont rouvert tôt. Les autorités américaines ont fait état, dimanche 28 juin, d’environ 44 700 nouveaux cas et de 508 décès supplémentaires.

Le nombre de cas a également augmenté rapidement en Amérique latine, dépassant le nombre en Europe. Cela fait de l’Amérique latine la région la plus touchée par la pandémie covid-19 après l’Amérique du Nord.

Pendant ce temps, dans d’autres parties du pays, à savoir l’Australie, le gouvernement envisage de re-mettre en œuvre des mesures de distanciation physique dans plusieurs régions. Cela a été fait après qu’il y ait eu des rapports de la plus forte augmentation du nombre de cas en plus de deux mois.

En seulement cinq mois, le nombre de décès dus au COVID-19 a dépassé le nombre de personnes qui meurent chaque année du paludisme, l’une des maladies les plus meurtrières au monde. Le taux de mortalité est en moyenne de 78 000 par mois, contre 64 000 décès dus au sida et 36 000 décès dus au paludisme, selon les chiffres de 2018 de l’Organisation mondiale de la santé (OMS).

Modification des règles d’inhumation

Le nombre élevé de décès a entraîné des changements dans les rites funéraires traditionnels et les religions à travers le monde. La morgue et les pompes funèbres étaient débordées. Il est interdit aux parents de procéder à des cérémonies de séparation privées.

En Israël, il n’est pas permis de laver le corps, ce qui est une pratique courante pour les musulmans. Au lieu d’être enveloppés dans du tissu, les corps doivent être enveloppés dans des sacs mortuaires en plastique. La tradition juive shiva, par laquelle les gens vont à la maison d’un parent endeuillé pendant sept jours est également interdite.

En Italie, les catholiques sont enterrés sans la bénédiction d’un chef religieux. Pendant ce temps, à New York, le crématorium de la ville faisait des heures supplémentaires, brûlant des corps dans la nuit alors que les autorités recherchaient également des lieux d’inhumation temporaires.

En Irak, d’anciennes milices utilisent leurs armes pour creuser des tombes pour les victimes du COVID-19 dans des zones funéraires spéciales. Ils ont appris à organiser des enterrements pour les chrétiens et les musulmans.


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