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JAKARTA - Un certain nombre de pays d’Afrique ont commencé à faire pression sur le Conseil des droits de l’homme de l’ONU (HAM) pour tenir un débat sur le racisme. Cela a été fait de sorte que la brutalité policière contre les citoyens d’origine africaine serait tout simplement arrêter dans le cas de la mort de George Floyd, l’homme noir qui a été tué par la police de Minneapolis, États-Unis, Derek Chauvin.

L’appel à une résolution a été rédigé par l’Ambassadeur du Burkina Faso représentant 54 autres pays africains pour exiger justice par l’intermédiaire du Conseil des droits de l’homme, le mardi 16 juin. Citant l’AIIC, le contenu de ces revendications est de défendre les droits des personnes d’ascendance africaine.

À titre d’examen, le Conseil des droits de l’homme est invité à réfléchir au vaste mouvement de solidarité « Black Lives Matter » (BLM). « Récents incidents de brutalité policière contre des manifestants pacifiques défendant les droits des Africains et des personnes d’ascendance africaine. »

Fait intéressant, le projet de l’appel sera ensuite débattu avec le Conseil des droits de l’homme mercredi. À cette fin, le Conseil des droits de l’homme, qui compte 47 pays membres, a accepté de se réunir et de discuter en détail des droits de l’homme et des brutalités policières qui ont entraîné la mort d’un citoyen d’ascendance africaine.

« Appel à la création d’une commission d’enquête internationale indépendante pour trouver divers faits et conditions liés au racisme, aux allégations de violations du droit international des droits de l’homme et au harcèlement des citoyens africains et des personnes d’ascendance africaine aux États-Unis et dans d’autres régions du monde », peut-on lire dans le projet de résolution.

Lors du débat ultérieur, le Conseil des droits de l’homme examinera les réponses des gouvernements fédéral et des États quant à la façon dont le gouvernement américain gère les manifestations pacifiques. « Y compris l’usage présumé d’une force excessive contre les manifestants, les observateurs et les journalistes. »

Comme on pouvait s’y attendre, la résolution indique également un point où le gouvernement américain et d’autres pays sont invités à coopérer au cours d’une enquête d’un an. Parallèlement, le Conseil des droits de l’homme dispose désormais d’une commission chargée d’enquêter sur les violations des droits de l’homme, notamment en Syrie, au Burundi, au Myanmar, au Soudan du Sud, au Venezuela et au Yémen.


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