JAKARTA - Les rassemblements de crise COVID-19 à laquelle ont participé des milliers de personnels médicaux, des médecins aux infirmières, se sont soldés par le chaos en France. La police qui gardait les rues a commencé à tirer des gaz lacrymogènes sur les manifestants exigeant des augmentations salariales et de meilleures conditions de travail devant le ministère de la Santé, le mardi 16 juin.
S’adressant à Reuters, la police de Paris a déclaré que l’action pacifique a été signalée par les anarchistes « black bloc » manifestants. Comme capturé dans une vidéo, une foule de membres du black bloc a ensuite attaqué la police alors qu’il faisait marche arrière sur une voiture, tandis que d’autres se concentraient sur jeter des pierres sur la police.
À cette fin, la police parisienne a accusé le groupe d’avoir détourné un acte pacifique de travailleurs de la santé. « Les personnes qui commettent des violences ne sont pas incluses dans des manifestations pacifiques », a indiqué le commissariat de Paris.
Malgré cela, les conditions sur le terrain sont désastreuses. Des gaz lacrymogènes ont commencé à être tirés par la police, et les manifestants ont commencé à riposter en lançant des bouteilles en verre et des pierres sur la police anti-émeute. Il y avait aussi des pompiers qui étaient occupés à sortir une poubelle que les manifestants avaient incendiée.
Manifestation déclarée et autorisée par la @prefpolice, gâchée par les exactions commises par des casseurs qui n’ont rien à voir avec les #soignants.@prefpolice dénonce ces comportements violents. pic.twitter.com/FAYqjLVL8S
— Préfecture de Police (@prefpolice) 16 juin 2020
Au total, 16 personnes ont été arrêtées dans le cadre de la crise covid-19. Avant les émeutes, les médecins s’étaient inquiétés de la rupture de la crise du COVID-19 en France.
« Notre hôpital fonctionne comme une machine, comme si nous étions des travailleurs. Nous ne sommes plus là pour nous en soucier », a déclaré un manifestant qui a dit qu’il a obtenu 1.450 euros par mois après dix ans de travail.
Les revendications d’augmentations salariales et de présentation de conditions d’espace de travail décentes ont en fait été exprimées bien avant le début de la pandémie covid-19. En fait, la même mesure a été entreprise depuis l’an dernier.
Malheureusement, la réponse du gouvernement par l’intermédiaire du président Emmanuel Macron n’était qu’une promesse. Parce que, la promesse afin d’augmenter les dépenses de l’État sur la santé et de fournir des primes pour les infirmières qui n’ont pas été réalisés à ce jour.
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