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JAKARTA - La Chambre basse du Parlement Français a voté mardi 29 juin, heure locale, en faveur d’une loi qui permettrait aux femmes célibataires et aux lesbiennes d’accéder à la procréation médicalement assistée.

Le vote final sur la loi sur la bioéthique, présenté par le gouvernement de Français le président Emmanuel Macron, est attendu avec impatience par les groupes de défense des droits LGBT, qui ont fait pression pour des mesures reproductives depuis que la France a légalisé le mariage homosexuel en 2013.

Lors du vote, 326 membres de la Chambre basse du Parlement Français ont voté en faveur de cette loi, tandis que 115 autres membres ont voté contre.

La nouvelle loi élargira l’accès aux traitements de fertilité tels que l’insémination artificielle et la fécondation in vitro (FIV), qui sont actuellement réservés aux couples hétérosexuels stériles.

En France, les soins de fertilité sont gratuits et une fois la loi votée, cela couvrira également les couples de lesbiennes et les femmes célibataires.

Le ministre de la Santé Olivier Veran a déclaré Français autorités se préparaient à mettre en œuvre la nouvelle loi dès que possible afin que le premier enfant puisse être conçu d’ici la fin de l’année.

Ce vote marque la fin d’un long débat de deux ans au parlement. La majorité conservatrice au Sénat a rejeté à plusieurs reprises la mesure, mais la chambre basse du parlement, où le parti centriste du président Macron a la majorité, a le dernier mot.

L’Assemblée nationale a approuvé le projet de loi à trois reprises et l’adoptera définitivement mardi.

Français groupes de défense des droits LGBT ont fait pression pour cette mesure après que la France a légalisé le mariage homosexuel sous le président François Hollande, après des mois de manifestations de masse de conservateurs et de catholiques.

« Enfin », a déclaré Matthieu Gatipon, porte-parole de l’association Inter-LGBT saluant les « progrès tant attendus » cités par Euronews mercredi 30 juin.

« Nous sommes convaincus que c’est fini. Mais c’est une naissance douloureuse », a-t-il poursuivi, exprimant sa frustration devant le temps qu’il a fallu pour obtenir le vote final de la loi.

Gatipon a déclaré qu’il était difficile pour Français femmes qui ont dû reporter pendant des années leurs plans d’avoir un bébé et d’autres qui ont dû payer des frais élevés pour aller à l’étranger, dans des pays où une telle procédure était disponible, comme l’Espagne et la Belgique.

À noter, la nouvelle loi ne traite pas de l’interdiction par la France des arrangements de substitution, dans lesquels une femme porte et accouche d’un bébé pour quelqu’un d’autre.


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