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JAKARTA - Israël continue de mener des frappes aériennes sur le territoire du Hamas, en représailles avec des tirs de roquettes par le Hamas, bien que la condamnation et les appels à un cessez-le-feu international continuent de couler.

Depuis le début des combats le 10 mai, les autorités sanitaires palestiniennes affirment que 228 personnes ont été tuées dans des bombardements aériens qui aggravent la situation humanitaire déjà désastreuse de Gaza, rapporte Reuters.

Le nombre croissant de morts a inquiété la Russie. Le vice-ministre russe des Affaires étrangères Mikhaïl Bogdanov a exhorté Israël à examiner attentivement les mesures qu’il prend.

« Dans un échange honnête d’opinions sur la situation dans les relations israélo-palestiniennes, y compris celles de la bande de Gaza. La partie russe s’est dite extrêmement préoccupée par l’escalade des tensions et a souligné qu’il ne devrait pas y avoir de mesures pleines de victimes civiles », a déclaré l’ambassadeur d’Israël en Russie, Alexander Ben Zvi, se faisant passer pour Bogdanov, comme l’a déclaré Neewsweek de TASS jeudi 20 mai.

De son côté, le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, a déclaré que la Russie surveillait de près l’évolution de la situation dans la région. Il a exhorté les deux parties à faire preuve de prudence dans cette déclaration. Il a également déclaré que la Russie était prête à accueillir un dialogue sur les conflits palestinien et israélien.

L’avertissement de Poutine

Plus tôt, le président russe Vladimir Poutine avait averti la semaine dernière que l’escalade entre Israéliens et Palestiniens constituait une menace directe pour la sécurité de la Russie.

Même lors d’une réunion avec le Conseil de sécurité russe, le Président a demandé une discussion sur la situation à Jérusalem et dans la bande de Gaza d’abord, avant l’ordre du jour prévu.

Bien avant l’anniversaire de vendredi, il s’est avéré que la Russie et Israël étaient à un point de guerre presque engagé, ce qui pouvait encore être évité grâce aux bonnes relations du président Poutine avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu.

En 2019, Netanyahu a révélé que Poutine lui avait dit que les deux pays seraient en guerre si ce n’était pour leurs liens étroits.

« Vladimir Poutine m’a dit que si ce n’était pas pour notre relation, nous pourrions nous retrouver au milieu d’un affrontement militaire. Ce n’est pas parce que nous nous rencontrons tous les quelques mois que cela est évité », a déclaré M. Netanyahu à la radio de l’armée, cité par l’Express jeudi 20 mai.

« Nous avons été près d’une collision à quatre reprises. Nos avions dans un espace aérien syrien dense ont failli entrer en collision avec un avion russe », a-t-il dit.

Israël mène actuellement des centaines de frappes aériennes en Syrie visant les livraisons d’armes du Hezbollah et les installations militaires iraniennes.


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