JAKARTA - Un rapport d’enquête lié à l’assassinat du général iranien Qassem Soleimani, commandant de la Brigade Qants des Gardiens de la Révolution iraniens, une force d’élite sous le corps des gardiens de la révolution iranien le 3 janvier 2020.
Il a été révélé qu’il y avait une guerre des forces spéciales américaines dans cet événement. Sans vergogne, les soi-disant impliqués sont plusieurs tireurs embusqués ou tireurs embusqués des forces spéciales américaines.
Soleimani a été tué dans une frappe de drone sur la voiture qu’il conduisait à l’extérieur de l’aéroport international de Bagdad, en Irak, peu après son arrivée dans le pays. L’incident a failli déclencher une guerre ouverte entre l’Iran et les États-Unis.
Reportage par The National News de Yahoo News Le lundi 10 mai, dans un rapport d’enquête divulgué, des responsables des forces spéciales américaines ont agi en tant que personnel de maintenance à l’aéroport de Bagdad pour coordonner la frappe aérienne qui a tué Qassem Soleimani.
Ils ont été rejoints sur le terrain par des soldats des forces spéciales kurdes et aidés par une assistance à distance d’experts en suivi téléphonique en Israël, a-t-il dit.
Il a indiqué que trois équipes de tireurs embusqués des forces delta, une unité d’élite de l’armée américaine, déguisée en travailleurs de l’aéroport, attendaient de montrer le véhicule qui rencontrerait Soleimani. Suleimani est arrivé par avion de la capitale syrienne, Damas.
« Les forces spéciales américaines sont à 600 à 900 mètres de la zone de mise à mort, une route d’accès de l’aéroport établie pour suivre la position du général (Soleimani) alors qu’il quitte l’aéroport », indique le rapport, basé sur des entretiens avec 15 responsables américains actifs et arrêtés.
« Des membres du Groupe antiterroriste (CTG), une unité kurde d’élite dans le nord de l’Irak, se sont fait passer pour des gardes à bagages et des équipes au sol, et ont aidé à identifier des cibles », poursuit le rapport.
Un membre du groupe aurait guidé l’avion à un arrêt sur la piste, tandis que trois drones américains ont fait le tour au-dessus de la piste, armés de missiles air-sol de type Hellfire.
CTG a nié être impliqué dans l’opération. Il a déclaré Soleimani était un ami proche de feu le politicien kurde Jalal Talabani, l’ancien président de l’Irak. Et les forces spéciales kurdes ont combattu sur la même ligne de front que Suleimani contre l’Etat islamique.
Téléphone portable Soleimani
Le rapport indique qu’un tireur d’élite américain était équipé d’une caméra avec des jumelles agrandies qui diffusent des conditions de vie à l’aéroport, à l’ambassade des États-Unis à Bagdad, où les commandants de l’armée delta sont basés avec le personnel de soutien.
Par ailleurs, à Tel Aviv, affirme-t-on, la liaison du Commandement des opérations spéciales des États-Unis travaille avec Israël pour aider à suivre le modèle de téléphone portable de Soleimani.
« Les Israéliens, qui avaient accès au numéro de Suleimani, l’ont donné à un Américain, qui a suivi son téléphone jusqu’à Bagdad », indique le rapport.
Des membres d’une unité secrète de l’armée américaine connue sous le nom de Task Force Orange étaient également à Bagdad cette nuit-là, selon un responsable militaire américain. Il fournit un signal d’expert en renseignement à courte portée pour la partie tactique de l’opération.
Le rapport indique que lorsque deux véhicules se sont déplacés dans la zone de mise à mort, deux missiles Hellfire ont frappé le véhicule de Soleimani, le tuant sur le coup.
Le conducteur du deuxième véhicule a tenté de s’échapper, mais s’est arrêté à moins de 100 mètres lorsqu’il a été abattu par un tireur embusqué de la Delta Force. Un troisième missile Hellfire a ensuite détruit le véhicule, selon le rapport.
Suleimani a été tué avec huit autres personnes, dont le chef adjoint de la puissante force paramilitaire irakienne Hashed Al Shaabi, Abu Mahdi Al Muhandis.
Le rapport traite des discussions de l’administration de l’ancien président Donald Trump sur l’assassinat de généraux iraniens et d’autres hauts responsables et procurations iraniennes.
L’assassinat de Soleimani fait suite à une escalade entre les milices irakiennes soutenues par l’Iran et les forces de la coalition en Irak, y compris la mort de plusieurs soldats américains en décembre 2019.
L’Iran a réagi à ce meurtre par un barrage de missiles sur la base aérienne conjointe irako-américaine d’Al Assad, dans l’ouest de l’Irak. En conséquence, environ 100 soldats américains ont subi ce qu’on appelle une lésion cérébrale traumatique, causée par une onde de choc de missiles.
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