BULELENG - Buleleng Police Team, Bali, a révélé la mort d’une grand-mère nommée Ketut Mintaning (64) alias Mme Mintan.
La victime a été tuée par un homme nommé Yoni Jatmiko (29 ans) alias Yoni qui était un porteur de bâtiment du village de Mlinjeng, district de Sumberrejo, Régence de Bojonegoro, Java-Est.
Alors que la victime, connue pour vivre seule dans le stand de la victime tout en vendant de la nourriture et des boissons gazeuses.
« D’après les résultats de l’enquête menée, il y a eu un crime présumé de meurtre contre la victime », a déclaré iptu Gede Sumarjaya, chef des relations publiques de la police de Buleleng, lundi 19 avril.
D’après les résultats de la scène de crime et l’examen des témoins obtenu des indices à l’auteur du meurtre. D’après les images de vidéosurveillance, l’agresseur est entré vers 01h48 WITA, dimanche 28 mars. Alors que l’arrestation de l’agresseur a eu lieu le dimanche 18 avril à Buleleng, Bali.
« Ensuite, l’interrogatoire a été mené sur les intéressés et (enfin) a admis qu’il est vrai qu’il avait commis le meurtre de la victime », a expliqué Iptu Sumarjaya.
D’après les aveux de l’agresseur, le meurtre a eu lieu aux petites heures du matin. L’agresseur s’est dirigé vers la maison de la victime et est entré en grimpant par-dessus l’entrée de la maison.
L’agresseur a ouvert de force la porte de la chambre de la victime en donnant deux coups de pied à la porte de la chambre pour que la victime se réveille de son sommeil.
La victime émotionnelle a molesté la grand-mère de Mintan. La grand-mère de Mintan s’est dite résistante, mais l’agresseur a poussé la victime au sol.
Le délinquant bâillonne alors la bouche de la victime avec un tissu kamben. L’agresseur a immédiatement pris la fuite après avoir tué la victime.
L’agresseur a dit à la police d’avouer sa vengeance contre la victime pour avoir réprimé l’agresseur en traquant un cintrage ou un chien.
« C’est là que l’incident s’est produit, lorsque l’agresseur a magasiné sur le stand de la victime environ trois jours avant le meurtre, at-il dit.
Les auteurs sont pris au piège de l’article 338 du Code pénal et de l’article 351 paragraphe (3) du Code pénal, sous peine d’une peine maximale de 15 ans d’emprisonnement.
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