JAKARTA - Des dizaines de milliers de manifestants manifestent dans les grandes villes de France contre la violence contre les femmes.
La foule a également appelé à une formulation ferme de l’élément de manqué d’accord ou de consentement énoncé dans la loi française.
Ils ont demandé au législateur de clarifier la définition juridique du viol qui serait « tout acte de pénétration sexuelle... par la violence, la coercition, la menace ou la surprise » sans couvrir le manque de consentement.
Le point de vue de la révision de la constitution est devenu la principale demande des groupes Français de défense des droits des femmes, surtout depuis le début du mouvement MeToo à la fin des années 2010.
« Juste parce que quelqu’un ne dit rien, cela ne signifie pas qu’il est d’accord », a déclaré Marie-Adire Abiker, 78, une infirmière pensionnée qui participe au rassemblement à Paris, cité par l’AFP.
Les militantes qui ont participé à la manifestation du samedi 23 novembre, heure locale, ont également exhorté leur pays à tenir un procès pour le viol de masse à Avignon.
L’affaire horrifiante du public Français est entrée dans la phase finale du procès à l’ordre du jour du procès. Au total, 51 hommes sont accusés d’abus sexuels et de viol d’une femme au domicile de la victime.
Le mari de la victime est l’accusé. Il a invité des dizaines d’accusés chez eux pour commettre des actes d’excavation contre sa femme qui a été abattue depuis environ une décennie.
Dans les rues, une fonctionnaire élue de la région d’Indre-et-Loire, dans l’ouest de la France, Peggy Plou, a déclaré que plus les masses d’action étaient impliquées, plus leurs voix étaient entendues par les législateurs.
« Plus nous sommes nombreux, plus nous nous voyons. C’est un problème de tout le monde, pas seulement des femmes », a déclaré Peggy au milieu de la foule.
Pendant les manifestations en France, des milliers de jeunes personnes âgées, la plupart des femmes, se sont longues marches. La police estime que le nombre de participants à l’action dans la capitale Français atteindra 12 500, tandis que les organisateurs ont déclaré 80 000.
Des sources policières ont déclaré qu'il y avait environ 35 000 manifestants contre la violence féminine dans de nombreuses régions de France, tandis que les organisateurs estiment que le nombre atteindra 100 000.
Les zones cibles de ces manifestations ont également couvert de grandes villes telles que Marsille dans le sud, Lille dans le nord-est, Bordeaux dans le sud-ouest et Rennes dans le nord-ouest.
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