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JAKARTA - Le Ministère du droit et des droits de l’homme (Kemenkumham) a libéré des dizaines de milliers de détenus et d’enfants liés aux efforts visant à prévenir la propagation du COVID-19 dans les prisons.

Après avoir été libérés, les détenus et les enfants seront supervisés et nourris par la salle communautaire (BAPAS). L’objectif est de s’assurer qu’ils ne sont pas impliqués dans des infractions criminelles.

Le chef du département des relations publiques et du protocole du PAS Rika Aprianti a déclaré que le suivi et le mentorat passeront par le système en ligne. Parce que, la condition est actuellement dans la pandémie covid-19.

« Supervision et mentorat par le Centre correctionnel à l’aide de systèmes en ligne tels que la vidéoconférence ou autres », a déclaré Rika à VOI, jeudi 2 avril.

La supervision et le coaching seront effectués périodiquement pendant une période prédéterminée. Ensuite, les agents enregistreront et feront rapport de tous leurs développements.

Selon les données existantes, enregistrées depuis le mardi 31 mars, environ 18 062 détenus et enfants ont été libérés par assimilation et intégration.

« La supervision et le coaching se feront chaque semaine ou chaque mois jusqu’à la fin de la période d’orientation », a déclaré Rika.

En outre, Karo Penmas Div Police des relations publiques Le brigadier-général Argo Yuwono s’est félicité des mesures prises par le Ministère des droits de l’homme. Selon lui, son parti sera prêt à fournir une assistance pour surveiller le mouvement des ex-détenus qui ont été libérés.

« Bien sûr, nous allons aider, mais pour techniquement plus tard attendre de kemenkumham, bref Argo.

Auparavant, le Ministère des droits de l’homme libérait certains détenus et enfants pour prévenir la propagation du coronavirus ou du COVID-19. La libération de certains de ces détenus se fera par assimilation et libération conditionnelle.

Ceci est conforme au décret numéroté M.HH -19.PK.01.04.04. L’année 2020 qui contient sur la libération et la libération des détenus et des enfants par assimilation et intégration est un effort pour prévenir et sauver les détenus et les enfants qui sont dans les établissements correctionnels, les établissements de développement spécial pour les enfants, et les prisons d’État de la propagation de Covid-19.

Toutefois, il existe d’autres dispositions ou règles pour que les détenus et les enfants soient libérés par assimilation. Premièrement, pour les détenus dont les deux tiers de la peine tombent le 31 décembre 2020, puis pour les enfants à mi-parcours, la peine tombe le 31 décembre 2020.

La deuxième condition, à savoir le détenu et l’enfant, n’est pas liée par la PP n° 99 de 2012 concernant les modalités et procédures de mise en œuvre des droits des agents correctionnels communautaires et ne sont pas soumis à des subventions, et ne sont pas des ressortissants étrangers.

Entre-temps, les dispositions relatives aux détenus et aux enfants libérés par le biais de l’intégration, à savoir la libération conditionnelle, la libération conditionnelle et le congé avant la liberté, sont des détenus qui ont purgé les deux tiers de leur peine. Quant à l’enfant est ceux qui ont purgé la moitié de sa peine.


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