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JAKARTA - Les hôpitaux de Paris ont été submergés par la montée en flèche des patients COVID-19 et ont été contraints de choisir quels patients traiter lorsque la troisième vague de COVID-19 a frappé l’Europe.

Cette condition s’est produite au milieu de Français la décision du président Emmanuel Macron de continuer à défendre sa décision, de ne pas procéder à un blocage complet en France.

Au lieu de cela, un couvre-feu national a été imposé, ainsi que d’autres restrictions ciblées dans les zones où le nombre de cas de coronavirus augmente.

Des blocages partiels plus stricts ont été mis en place dans plusieurs régions de France, notamment dans la ville de Lyon où les cas de COVID-19 augmentent.

« Nous savons déjà que notre capacité à effectuer des traitements sera dépassée », a écrit le médecin de la région parisienne dans Le Journal du Dimanche, comme l’a rapporté Euronews.

« Nous serons obligés d’effectuer le triage des patients pour sauver le plus de vies possible. Ce triage préoccupera tous les patients, avec et sans COVID-19, en particulier pour l’accès des patients adultes aux soins intensifs « , poursuit la lettre.

Des blocages partiels plus stricts ont été mis en place dans plusieurs régions de France, notamment dans la ville de Lyon où les cas de COVID-19 augmentent.

Dans le même temps, le nombre de patients atteints de COVID-19 dans les unités de soins intensifs de Français a atteint de nouveaux sommets cette année, selon les données du ministère de la Santé du Français au dimanche 28 mars.

4.872 patients des soins intensifs ont été traités pour covid-19, proche d’un pic de novembre lors de la deuxième vague du virus en France. Bien que, ce chiffre est encore bien en dessous de l’ascenseur le plus élevé qui a atteint 7.000 en avril de l’année dernière. Dans le même temps, le nombre de nouvelles infections a diminué d’environ 5.600 à 37.014 cas.

La France prévoit également d’accélérer les vaccinations, après avoir été frappée par la crise vaccinale de l’UE avec le producteur de vaccins COVID-19 AstraZeneca.

Le ministre des Affaires européennes Clément Beaune a déclaré hier à France 2 Télévisions que la France recevrait 2 millions des 16 millions de doses de vaccin AstraZeneca détenues par les autorités italiennes dans le cadre du conflit.

De son côté, le Français ministère de la Santé a indiqué que jusqu’à hier, jusqu’à 7,8 millions de résidents de Français avaient reçu la première dose du vaccin COVID-19.


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