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JAKARTA - L’agence japonaise de développement étranger a été invité à couper les liens avec la Myanmar Economic Corporation (MEC), un conglomérat appartenant à l’armée du Myanmar.

Cette pression s’ajouté à l’augmentation continue du nombre de morts parmi les manifestants militaires anti-coup d’État, ainsi qu’aux sanctions imposées par les États-Unis contre le MEC.

L’Agence japonaise de coopération internationale (JICA) collabore avec MEC sur un projet d’une valeur de 323 millions de dollars, soit environ 4.656.125.750.000 IDR, pour construire un nouveau pont reliant le centre de Yangon à la ville de Thanlyin, au sud-est du pays.

Le projet a été convenu au début de 2019 et devrait être achevé en 2023. Ce projet est principalement financé par la JICA par le biais d’un programme de prêts à faible taux d’intérêt avec versements annuels. En outre, le Myanmar a également contribué à hauteur de 40,6 millions de dollars à ce projet.

Le pont Yangon-Thanlyin de 1.928 pieds traversera la rivière Bago, réduisant la congestion routière et accélérant la circulation des marchandises entre le centre-ville et la zone économique spéciale de Thilawa, un autre projet soutenu par le Japon.

« La société japonaise Yokogawa travaille avec une filiale mec appelée Myaung Daga n ° 2 Steel Mill, la production de cadres en acier pour le pont », un ingénieur impliqué dans le projet a déclaré myanmar now.

Il a déclaré que bien que les États-Unis et la Grande-Bretagne aient annoncé des sanctions contre des entreprises liées à l’armée du Myanmar, rien n’indique que le Japon abandonnerait le projet.

« Ils communiquent directement avec MEC. Ça n’a pas d’importance avant la fin du mois de janvier. Mais je tiens à informer le grand public, JICA est toujours en communication avec MEC. Ils ont condamné le coup d’État diplomatiquement, mais ils travaillent toujours avec la junte MEC », a-t-il expliqué.

On sait que le ministre japonais des Affaires étrangères Toshimitsu Motegi a exprimé sa grande préoccupation face au coup d’État au Myanmar, appelant à la libération immédiate de la dirigeante du Myanmar Aung San Suu Kyi.

L’année dernière, des militants ont exhorté les entreprises japonaises à abandonner un projet d’hôtel de luxe à Yangon, prétendument pour enrichir l’armée du Myanmar. Pendant ce temps, le mois dernier, le géant japonais de la bière Kirin a annoncé qu’il avait coupé les liens avec une brasserie militaire au Myanmar.

En ce qui concerne le coup d’État au Myanmar. L’équipe éditoriale de VOI continue de suivre la situation politique dans l’un des pays membres de l’ANASE. Les victimes civiles continuent de chuter. Les lecteurs peuvent suivre les nouvelles entourant le coup d’État militaire du Myanmar en tapant sur ce lien.


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