JAKARTA - Le Plan d’action complet conjoint (JCPOA) ou l’accord nucléaire de 2015 entre l’Iran et les grandes puissances mondiales, ainsi que les négociations sur d’autres questions peuvent être relancées si les parties concernées s’occupent de la réalisation des intérêts mutuels et de la confiance, a déclaré le président iranien Masoud Pezeshkian.
Cela a été transmis par le président Pezeshkian lors d’un appel téléphonique avec le président du Conseil européen Charles Michel dimanche.
Faisant référence à la volonté du Conseil européen de poursuivre les négociations avec l’Iran sur la montée du JCPOA, le président Pezeshkian a souligné la confiance et les intérêts communs comme condition préalable pour un éventuel accord.
« Si les deux parties remplissent tous leurs obligations et renforcent la confiance, elles peuvent discuter d’autres questions (qui sont d’intérêt commun) que de la relance de l’accord nucléaire », a déclaré le président iranien, citant Tasnim pour la presse TV le 12 août.
À cette occasion, a également déclaré le président Pezeshkian, le double standard appliqué par les États-Unis et un certain nombre de pays occidentaux rendent Israël de plus en plus courageuse à commettre des crimes plus cruels à Gaza et dans toute la région.
Pendant ce temps, M. Michel a déclaré que les pays européens souhaitaient renforcer leurs relations avec l’Iran.
Il espère que l’Iran et l’Union européenne poursuivront une interaction efficace basée sur des intérêts communs et élimineront les obstacles dans les efforts visant à renforcer les relations.
Téhéran a accepté de limiter ses activités nucléaires en échange d’allègement des sanctions dans le cadre du Plan d’action global conjoint (JCPOA) entre l’Iran et les puissances mondiales en 2015.
Cet accord a été convenu par les États-Unis, l’Iran, l’Union européenne, la Chine, la France, l’Allemagne, la Russie et le Royaume-Uni lors d’une réunion à Vienne, en Autriche, le 18 octobre 2015. Cet accord est mis en œuvre à partir du 16 janvier 2016.
L’accord s’est effondré alors que les États-Unis, sous la présidence de Donald Trump, ont décidé de se retirer de l’accord en 2018, poursuivant les sanctions contre l’Iran à laquelle Téhéran a répondu avec une enrichissement accru de l’uranium.
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