Partager:

JAKARTA - Le géant de l’énergie Français Électricité de France (EDF) a décidé de reporter le projet de centrale hydroélectrique (PLTA) d’une valeur de plus de 1,5 milliard de dollars, soit environ 21,5 billions d’IDR.

Le projet, situé dans l’État Shan, a été mis en attente alors que les questions relatives aux droits humains s’a seriousissaient alors que le régime militaire du Myanmar continuait d’utiliser la force meurtrière pour affronter les manifestants anti-coup d’État du 1er février.

EDF a obtenu un avis de poursuivre le projet en 2018. Le FED devrait produire 3 milliards de kWh d’électricité par an pour le réseau national, fournissant de l’énergie électrique à plus de 8,5 millions de personnes à travers le Myanmar.

Aux groupes de défense des droits de l’homme Justice for Myanmar et Info Birmanie (France), EDF a notifié la suspension du développement du projet Shweli-3, y compris ses activités de sous-traitants. Le projet de 671 MW a été travaillé par EDF avec Marubeni Corporation Japan et Myanmar Ayeyar Hinthar Company.

La signature de la coopération pour le projet hydroélectrique Shweli-3. (Source: www.moee.gov.mm)

EDF a souligné qu’elle adhère aux principes fondamentaux des droits de l’homme et aux conventions de l’Organisation internationale du Travail, ainsi qu’aux Principes directeurs des Nations Unies sur les entreprises et les droits de l’homme, dans tous les projets à laquelle elle participe. Par conséquent, le FED continue de suivre l’évolution du coup d’État militaire au Myanmar et de coordonner avec les autorités Français l’Union européenne.

Justice pour le Myanmar et Info Birmanie s’en sont félicités. Ils ont déclaré que la poursuite du projet les impliquerait dans les affaires avec le régime militaire du Myanmar, qui tue délibérément des manifestants pacifiques, commet des crimes contre l’humanité.

Sophie Brondel, coordinatrice d’Info Birmanie, a déclaré que la décision d’EDF de suspendre le projet hydroélectrique Shweli-3 était une étape importante, indiquant la voie à suivre pour Français entreprises au Myanmar.

« Nous appelons spécifiquement toutes les entreprises ayant des liens avec la junte à couper ces liens. Les entreprises ont la responsabilité de se tenir du côté de la démocratie et de s’assurer qu’elles ne poussent pas la junte. Le statu quo n’est pas une option », a déclaré Brondel, lançant The Irrawaddy.

Au samedi 20 mars, au moins 238 personnes sont mortes depuis le coup d’État militaire du Myanmar le 1er février, après qu’un homme a été abattu sur l’une des bases des manifestants à Yangon, selon l’Association d’assistance aux prisonniers politiques (AAPP).

Coup d’État au Myanmar. L’équipe éditoriale de VOI continue de suivre la situation politique dans l’un des pays membres de l’ANASE. Les victimes civiles continuent de chuter. Les lecteurs peuvent suivre les nouvelles entourant le coup d’État militaire du Myanmar en tapant sur ce lien.


The English, Chinese, Japanese, Arabic, and French versions are automatically generated by the AI. So there may still be inaccuracies in translating, please always see Indonesian as our main language. (system supported by DigitalSiber.id)