JAKARTA - Les autorités iraniennes ont annoncé qu’elles vont tester le réacteur nucléaire d’Arak redessiné, comme l’étape initiale d’un plan de ré-opérationnalisation du réacteur d’ici la fin de l’année.
L’annonce a été faite par l’Organisation iranienne de l’énergie atomique le vendredi 19 mars. Le test effectué est un essai à froid.
Le porte-parole Behrouz Kamalvandi aurait déclaré par les médias locaux que les essais à froid, qui comprennent généralement le démarrage initial de systèmes fluides et de systèmes de soutien, auront lieu au début de la nouvelle année iranienne qui commence ce dimanche.
« En d’autres termes, nous avons des emplois avancés dans les domaines du carburant, du stockage, etc. », a déclaré Kamalvandi.
Cette annonce devrait compliquer les efforts de l’Iran avec les pays occidentaux pour revenir à l’accord nucléaire de 2015. En plus de mettre une nouvelle pression sur le président des États-Unis Joe Biden.
L’attitude récalcitrante de l’Iran ne peut être dissociée de la décision controversée de l’ancien président américain Donald Trump, qui a déclaré sa sortie de l’accord en 2018, suivie de l’imposition de sanctions contre l’Iran.
Les États-Unis et l’Iran sont maintenant pris dans une impasse sur qui doit agir en premier pour sauver l’accord.
L’Iran a accepté de fermer le réacteur nucléaire d’Arak, à environ 250 km au sud-ouest de Téhéran, en vertu de l’accord nucléaire de 2015. Le réacteur peut produire une quantité limitée d’eau lourde et Téhéran a travaillé à la refonte du réacteur. Il a dit qu’il prévoit de fabriquer des isotopes à des fins médicales et agricoles.
L’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a déclaré dans un rapport à ses États membres plus tôt cette semaine que l’Iran avait commencé à enrichir de l’uranium dans son usine souterraine de Natanz avec le deuxième type de centrifugeuse avancée, IR-4, en violation supplémentaire de l’accord.
L’année dernière, l’Iran a commencé à déplacer trois cascades, ou groupes de différents modèles centrifuges avancés de l’usine hors sol de Natanz à son usine souterraine d’enrichissement de carburant (FEP). La pratique de l’enrichissement est illégale parce qu’elle utilise une centrifugeuse IR-2m. L’accord ne lui a permis de s’enrichir avec le moteur IR-1 de première génération. Pendant ce temps, à Fordow, l’Iran a enrichi la pureté de leur uranium à 20 pour cent.
The English, Chinese, Japanese, Arabic, and French versions are automatically generated by the AI. So there may still be inaccuracies in translating, please always see Indonesian as our main language. (system supported by DigitalSiber.id)