JAKARTA - Cinq meurtres présumés du candidat à la présidence équatorienne Fernando Villavicencio ont été condamnés en prison le vendredi 12 juillet, heure locale.
Villavicencio, un politicien, syndicaliste et journaliste, a été tué par un groupe d’hommes à moto le 9 août de l’année dernière alors qu’il quittait une école dans la capitale équatorienne, le Quito, à la suite d’une campagne. L’incident a également blessé 13 autres.
En lançant The Guardian, samedi 13 juillet, deux personnes accusées d’être le cerveau du meurtre ont été condamnées à 34 ans et 8 mois de prison. Les trois de leurs groupes ont été jetés en prison pendant 12 ans. Les procureurs ont accusé au moins deux des accusés d’être membres du gang criminel de Los Lobos, qui faisaient partie des 22 gangs criminels désignés comme terroristes par le président Daniel Noboa en janvier dernier.
Selon le bureau du procureur, l’un des cerveaux du meurtre, Carlos Angulo, alias « Invisible », a coordonné le meurtre depuis une prison en Équateur par vidéoconférence avec d’autres personnes qui n’ont pas été jugées. L’ordre a même été enregistré sur leurs téléphones portables.
Pendant ce temps, Laura Castillo, un autre cerveau, est chargée de fournir une logistique aux tuteurs à la mercée, y compris des motos et de l’argent. Les trois comploteurs - Erick Ramírez, VICtor Flores et Alexandra Chilor - sont chargés d’informer les tuteurs sur les mouvements de la victime.
Le bureau du procureur précédent avait exigé une peine maximale pour les cinq inculpés. Les sanctions pour Angulo et Castillo comprenaient le paiement d’une indemnisation de 100 000 dollars américains chacun (équivalent à 1,61 milliard IDR) à la famille de la victime. Les trois autres accusés sont tenus de verser une indemnisation de 33 000 dollars américains chacun (équivalent à 531,7 milliards IDR).
Au moment du procès, la famille et les amis de Villavicencio auraient protesté au Quito avec des affiches, des photos de Villavicencio et du drapeau alors que le juge lit le verdict.
En tant que journaliste, Villavicencio est connu pour démanteler la corruption et les relations entre les organisations criminelles et les politiciens. Il a même signalé qu’il reçoit des menaces, mais les autorités n’ont jamais révélé le motif du meurtre.
Au total, 13 personnes avaient été initialement inculpées dans cette affaire, dont plusieurs Colombiennes décédés aux prisons de Guayaquil et de Quito en octobre dernier alors qu’elles étaient en détention avant leur prison.
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