JAKARTA - L’ancien juge général Gazalba Saleh a demandé que les comptes, les femmes et les enfants bloqués depuis l’enquête puissent être ouverts pour payer les frais d’école des enfants qui souhaitent aller à l’université.
Le conseiller juridique de Gazalba Saleh, Aldres Napitupulu, a déclaré que les comptes de son client et de sa famille avaient été bloqués jusqu’à présent, mais que le contenu n’avait jamais été saisi comme preuve jusqu’à présent.
« Nous demandons au panel de juges d’être ouvert étant donné que l’accusé a un enfant qui veut aller à l’université », a déclaré Aldres lors d’une audience devant le tribunal pénal de la corruption de Jakarta (Tipikor), comme l’a rapporté Antara, lundi 8 juillet.
En réponse à la déclaration, le procureur général de la Commission d’éradication de la corruption (KPK) a expliqué que le blocage du compte de l’accusé n’était pas inclus dans la liste des preuves saisies, car le blocage avec la saisie au procès était deux choses différentes.
À cette fin, le juge président Fahzal Hendri a déclaré que cela serait discuté plus tard lors du procès parce qu’il était entré dans le matériel principal de l’affaire.
Le prochain procès doit interroger des témoins le lundi 15 juillet. Les procureurs prévoient d’assister environ 20 témoins au procès d’interrogatoire, de sorte que le panel de juges a décidé d’organiser un procès d’interrogatoire de témoins deux fois par semaine.
Dans cette affaire, Gazalba est accusé d’avoir accepté une gratification et d’avoir commis un acte criminel de blanchiment d’argent (TPPU) d’une valeur totale de 25,9 milliards de roupies liés au traitement des affaires au Cour suprême.
Les recettes présumées comprenaient des gratifications de 18 000 dollars singapouriens (200 millions IDR) et d’autres recettes sous la forme de 1,128 million de dollars singapouriens (13,37 milliards IDR), de 181 100 dollars américains (2,9 milliards IDR) et de 9,43 milliards IDR au cours de la période 2020-2022.
Sur les accusations de gratification, Gazalba a été menacé de pénalité à l’article 12 B juncto article 18 de la loi (UU) numéro 31 de 1999 concernant l’éradication des actes criminels de corruption telle que modifiée par la loi n° 20 de 2001 jo. Article 55 paragraphes 1 à 1 du Code pénal.
Pendant ce temps, sur la base d’accusations de la TPPU, Gazalba est menacé de pénalité Article 3 de la loi n ° 8 de 2010 sur la prévention et l’éradication du crime de blanchiment d’argent jo. Article 55 paragraphes 1 à 1 du Code pénal jo. Article 65 paragraphe 1 du Code pénal.
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