JAKARTA - Le ministre palestinien de l’Économie nationale, Mohammed Al-Amour, a déclaré que les autorités palestiniennes étaient prêtes à contrôler le poste d’inspection de Rafah à la frontière avec l’Égypte devant des observateurs internationaux, sous condition du retrait des troupes israéliennes.
Le portail d’information israélien, Walla, rapporte, citant de hauts responsables américains et israéliens, que les négociations entre Israël, égypte et les États-Unis pour ouvrir le passage à Rafah ont été arrêtées parce qu’Israël a refusé d’autoriser les Palestiniens à exploiter le site en toute circonstance.
« La position palestinienne est claire, la volonté de travailler au poste d’inspection de Rafah dans le sud de la bande de Gaza conformément à un accord convenu en 2005 devant des observateurs internationaux. Donc, c’est dans l’intérêt de notre peuple et soumis au retrait des troupes d’occupation israéliennes », a déclaré le ministre Al-Amour, cité par ANTARA depuis Sputnik, vendredi 14 juin.
Israël a fermé une traversée importante de la frontière de Rafah après avoir envoyé des troupes dans le sud de Gaza début mai, sept mois après une attaque du Hamas sur le territoire israélien, qui a déclenché la pire escalade du conflit dans la bande de Gaza depuis des décennies.
Le gouvernement israélien a promis d'étendre ses opérations à Rafah pour atteindre l'objectif défini d'exterminer tous les combattants du Hamas et de libérer les otages.
Selon les estimations de l'ONU, jusqu'à fin mai, plus de 945.000 personnes avaient fui Rafah depuis les attaques israéliennes depuis début mai.
Le 7 octobre 2023, le mouvement palestinien du Hamas a lancé une attaque de fusée à grande échelle contre Israël et a violé les frontières, frappant des environnements civils et des bases militaires. Près de 1 200 personnes ont été tuées en Israël et environ 240 autres ont été kidnappées dans l’attaque.
Israël a lancé une riposte et a commencé une attaque terrestre contre la zone de poche palestinienne. Plus de 37 100 personnes ont été tuées à ce jour lors des attaques israéliennes sur la bande de Gaza, selon les autorités locales.
On soupçonne qu'au total, 120 otages sont toujours détenus par le Hamas à Gaza et on pense qu'un tiers d'entre eux sont morts.
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